La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1587)
Datte: 12/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Alors bougeons-nous, car Madame Marie est impitoyable, je la crains comme la peste…
Alors subitement Antoine sautait du lit et descendait quatre à quatre les escaliers, si vite, tellement vite que j’avais grande peine à le suivre. Nous enfilions précipitamment nos joggings et courrions jusqu’à la voiture... Quand nous arrivions, la grande grille du Château était ouverte, le perron éclairé, Madame Marie attendait avec son éternelle cravache en main, elle portait des bottes en cuir, la tête haute, la sévérité se lisait sur son visage. Elle nous accueillait à sa façon, comme à son habitude.
- Je vais vous apprendre à vous bouger le cul, mes salopes. A poil vite ! Vous avez une minute de retard ! En levrette et montrer moi vos culs de putain…
La stricte cuisinière nous cinglait les fesses sans ménagement avec une dizaine de coups chacun, faisant siffler dans l’air sa cravache…
- Une seule minute, c’est juste dix coups chacun… Vous avez de la chance, car deux minutes de retard auraient été beaucoup, mais alors beaucoup plus difficile à vivre pour vous, vous auriez été pendus par les couilles, sales bâtard…
Je pense que cette sadique femme ne nous aurait tout de même pas pendu par les couilles et qu’elle nous a dit cela par sadisme gratuit, juste pour nous faire peur, mais que la sanction, quelle qu’elle soit, aurait en effet été beaucoup plus sévère, il n’y avait pas à en douter… Elle nous ordonnait de la suivre sans bruit et à quatre pattes, alors qu’elle ...
... cueillait nos vêtements restés sur le sol. Elle nous obligeait donc à traverser le vaste hall d’entrée en quadrupédie sur ce carrelage froid aux grands carreaux formant un damier noir et blanc... Après une traversée d’un long couloir accédé par une porte latérale dérobée, nous arrivions dans une vaste pièce que je ne connaissais pas encore, ressemblant en tout point à un donjon BDSM. Madame Marie nous ôtait nos cages de chasteté, puis du bout de sa cravache, balançait tour à tour nos couilles pendantes, car nous étions toujours en quadrupédie :
- Bien minables ces couilles ! Elles n’auraient même pas supportées d’être pendues ! Et vos nouilles sont bien rabougries, elles sont toutes aussi minables !, commentait-elle en tapotant nos testicules avec le plat de sa cravache.
Nos sexes pendaient, sans doute, tous deux, pas vraiment réveillés, étions dans l’appréhension de ce qui allait suivre. Madame Marie nous regardait cyniquement, ses yeux sur nos nouilles flasques, puis sans perdre de temps, elle nous emmenait dans une pièce attenante, une salle de douche.
- Restées à quatre pattes les putains, mais coudes au sol, vos culs face à moi, bien offert !, nous ordonnait-elle en nous donnant ici ou là quelques coups de cravache supplémentaires sur nos culs nus et bien exposés.
Madame Marie s’accroupissait de nouveau derrière nos culs offerts, derrière nos couilles pendantes qu’elle venait soupeser et tirer, comme on le ferait d’un animal dont on veut apprécier la qualité sur un ...