La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1587)
Datte: 12/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1586) -
Chapitre 32 : Les turpitudes d’une nuit particulière -
Nous restions comme ça, jusqu’à l’étouffement, nous regardant dans les yeux, tendrement, amoureusement... Cela faisait maintenant trois jours qu’Antoine et moi étions ensemble, que tous les deux. Nous apprenions à nous connaître par de longs échanges sans réserve, ni tabou. Antoine était plus en avance que moi sur le plan de la soumission, il avait totalement lâché prise, s’en remettait les yeux fermés au Maitre sans se poser aucune question, sans penser, ni réfléchir, il s’efforçait en tout point à Le satisfaire et le vénérer. Et c’était là, la seule et unique chose qui comptait pour lui, Le satisfaire, c’était son seul but, sa seule raison d’être, d’exister, son seul bonheur. Je pouvais ainsi mesurer toute l’ampleur phénoménale de la puissante et si efficace Emprise Dominante du Châtelain sur Antoine… Ainsi, mon futur mari me motivait, me poussait à me construire davantage dans cet état d’abandon total, dans la servitude la plus extrême. Il me poussait à abdiquer, à évacuer tous les principes moralistes que j’avais encore, à délaisser mes pudeurs (si encore, j’en avais) en exposant mon corps nu et servile dans des postures qui me semblaient encore immorales, pernicieuses et impudiques...
Très souvent, il m’obligeait, d’une manière douce et tendre à exposer ma nouille, mes couilles et mon ...
... cul à son regard, jusqu’à ce qu’il voie disparaitre mes angoisses, mes inquiétudes et mes gênes. Antoine s’assumait totalement décomplexé de sa condition et si heureux de l’être… Bref, il m’encourageait, m’aiguillonnait et me poussait dans mes derniers retranchements, pour que les dernières bribes de mon mental cède définitivement. Ainsi, il m’avait suggéré une séance avant notre diner. Il m’avait fait installer sur la grande table de la cuisine, à quatre pattes levrette, tête posée sur le plateau de ladite table, le dos bien cambré, les fesses tendues vers le haut, les cuisses largement écartées et avait inséré le spéculum reçu dans le colis. Le cul largement écarté par cet objet, il m’avait laissé ainsi un bon quart d’heure en me questionnant sans cesse sur mes ressentis :
- Eprouves-tu un quelconque malaise de t’afficher ainsi devant moi ?
- Oui, un peu, juste une petite gêne…- Pourtant tu t’exhibes simplement, sans que je te force à le faire ! Et malgré cette petite gêne, éprouves-tu du plaisir à te sentir ainsi, le cul ouvert, bien exposé et contraint par ce spéculum.
- Oh oui, j’en éprouve, ça m’excite, c’est clair…- Tu m’aurais dit le contraire, j’aurais eu du mal à te croire. Je vois ta nouille qui cherche à s’épanouir dans cette cage et qui mouille abondamment. Ressentirais-tu le même plaisir si, ainsi, le Maitre t’affichait devant d’autres personnes Dominantes, ou simplement devant d’autres soumis ?
- Le Maître m’a déjà exhibé devant d’autres !
- Mais ...