1. « Josy » se fait sodomiser comme une petite salope. Épisode 36


    Datte: 11/01/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... chaussette : « Que lui était-il arrivé ? » Demandais à mes amies : « Rien ! Il ne veut pas de toi simplement. Oublie ce type Josy tu te fais du mal. ». Me répondit franchement Joceline. Quant à Gisèle, elle fut beaucoup plus optimiste que notre voisine, celle-ci me réconforta en me disant : « Thierry a probablement un problème de boulot et ne voulait pas que tu le saches. Ne t’inquiète donc pas, si tu lui plais comme tu nous l’as dit, il va appeler dès que cela ira mieux pour lui. Soit patiente ma chérie. »
    
    Même si je conservais toujours un petit espoir au fond de mon cœur, je m’étais fait une raison, je ne reverrais pas Thierry de sitôt et je ne devais pas me morfondre comme me l’avait si bien conseillé Joceline ce dimanche. Le lundi matin, Jean-Jacques ne m’avait pas appelé malgré qu’il me l’ait promis et n’était pas passé à 17 heures non plus, comme à son habitude. Me retrouvant seule, j’avais envie d’être consolée dans ses bras, il me manqua car il avait toujours le bon mot pour me faire rire ou au moins sourire, dès que j’avais le cafard.
    
    Il fallait que je sorte, j’emmenai Mary chez Gisèle qui me la garda afin que je puisse me rendre en ville. Je désirais me rendre à la « Brasserie du Coin » où nous allions certains midis lorsque nous étions en ville avec mes deux voisines. Je savais que la cuisine était particulièrement bonne depuis le changement de propriétaire. Guy, le nouveau patron était un ami de Joceline, lorsqu’il m’accueillit il m’avait avertie : « ...
    ... C’est plein ce soir » Il m’expliqua qu’étant donné qu’il avait un séminaire d’entreprise, il était complet à l’intérieur et même sur la terrasse couverte. Après avoir fait le tour du regard, en effet, les huit tables étaient occupées.
    
    Ça m’ennuyait de changer mon plan, le patron me plaisait et j’avais bien l’intention de profiter d’être venue sans mes amies pour le séduire. Soudain un homme seul sur la table du fond, leva son bras en appelant Guy. Celui-ci après quelques secondes revint m’annoncer que si cela ne me dérangeait pas, il pouvait partager sa table avec moi : « Tu le connais ? ». Demandais-je au patron, je n’avais pas envie de m’installer à côté d’un pervers : « Oui, c’est un type bien, il est en pension complète depuis plus de 15 jours et il n’a jamais fait d’histoire. » Cet inconnu avait une quarantaine d’année avec déjà des tempes grisonnantes, propre sur lui et semblait assez sympathique et à mon goût pour une petite soirée.
    
    Je m’étais donc décidée et vint en m’excusant, m’installer à la table de cet homme charmant qui se présenta en se levant de sa chaise et en me tendant la main : « Bonsoir Madame ! Paolo je suis ravi d’être en si bonne compagnie. » Restant assez distante, je me présentai à mon tour puis quand Guy m’amena la carte, mon voisin de table me conseilla « la daube » ce plat mythique de la Provence, en me disant qu’elle était excellente. Paolo était très bavard, il n’avait pas cessé de me raconter sa vie et comment il avait atterri ici. En fait, ...
«1...3456»