« Josy » se fait sodomiser comme une petite salope. Épisode 36
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Le vendredi 19 octobre 90, au réveil après ma courte nuit, j’étais épanouie et heureuse, je le regardais dormir puis je lui déposais des bises sur torse. Lorsqu’il se réveilla, il m’embrassa tendrement et prit un ton sévère : « Josy, je dois t’avouer quelque chose car je ne voudrais pas te mentir et te perdre. » Il m’expliqua qu’il ne m’avait pas dit toute la vérité sur son métier. Il était un simple serveur et venait malheureusement de perdre son emploi. Puis il enchaîna sur ses amours ratés et de sa récente rupture il y a un an, qui l’avait fait vraiment souffrir. Il n’avait plus un sou pour se loger et qu’il fut donc obligé de revenir au camping de M et Mme Y, où il espérait retrouver une vie normale.
Je pris sa main dans la sienne, j’étais touchée par la malchance qui s’acharnait sur lui. Je serais bien restée au lit comme il me demandait mais je devais absolument rentrer pour les funérailles. Thierry me manquait déjà. Pendant toute la matinée, je n’avais cessé de penser à lui, même lors de l’enterrement de Jean-Lou. Comme je l’avais pensé, Maitre K m’invita au pot d’adieu où je ne m’étais pas sentie à mon aise. Ayant mangé plusieurs petits fours, je n’avais pas déjeuner et j’étais rentrée directement chez ma mère pour me changer. Je ne voulais surtout pas manquer mon rendez-vous avec Thierry pour tout l’or du monde.
Après m’être préparée simplement, j’étais allée à quinze heures pile au camping. Ce fut pour moi un des plus beaux moments de ma vie. Je ne suis pas ...
... près d’oublier cette ballade main dans la main le long de Drèze, où nous avions fait l’amour en pleine nature avant d’aller diner, où là encore il m’avait fait monter au 7e ciel dans les toilettes du restaurant. Sans oublier la nuit d’amour passée dans ses bras. Thierry était un expert en la matière, il me faisait jouir plusieurs fois en une demi-heure de temps, j’étais aux anges. Malheureusement, il était temps pour moi de rentrer à la maison, cependant ne voulant pas me quitter trop tôt, il me proposa de rester tout le week-end.
Moi aussi, je désirais prolonger mon séjour dans ses bras, seulement j’avais ma fille Mary et je ne voulais pas encore lui dire. J’avais téléphoné à Gisèle afin qu’elle me garde la petite en lui expliquant ce qui m’arrivait : « Je te promets que je rentre lundi en fin de matinée. Je te raconterai tout. » Pour passer ce week-end de rêve, j’avais réservé une suite à l’hôtel du prince, un des plus renommé de la région où nous nous étions complètement libérés, nous étions seuls au monde en amoureux. Ce fut le dimanche soir que je lui avais dit pour la première fois : « Je t’aime. » Il m’avait alors répondu en riant : « Enfin tu me le dis, je croyais que tu ne me le dirais jamais. Moi aussi je t’aime, depuis la première seconde où je t’ai vu sur ce transat. »
Étant sans emploi, j’avais tout fait pour qu’il vienne s’installer à la maison, en lui promettant que je l’aiderai à trouver un emploi et qu’en attendant, je le nourrirai et le logerai. Il était ...