Fessée et dessert
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
fête,
fsoumise,
fdomine,
odeurs,
Oral
yeuxbandés,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... et les gémissements. Les nymphéas claquent sur mon poignet que la mouille éclabousse. Le fourreau se contracte par saccades, mes phalanges se perdent dans sa chaude douceur. Colette râle tout uniment.
J’avise son clitoris délaissé, ma main libre le couvre. Ouverte en éventail, elle le frotte et le roule sous sa frêle capuche. Plus rien ne compte pour moi que la coordination de mes gestes, et la volonté de faire encore jouir, bien sûr ! J’agite et je pistonne. Colette roucoule à pleins poumons, sa vulve tremble, son pubis regimbe, tout son corps gigote. Je pistonne plus fort et j’agite plus vite. Le roucoulement devient hululement, les hanches se soulèvent, les muscles se contractent, le vagin emprisonne mes doigts, mes bras se bloquent… Tout se détend quand Colette clame sa jouissance.
Elle retombe alanguie, fatiguée et heureuse. Je masse doucement la peau frémissante en dégageant ma main de l’emprise du con, lentement, phalange après phalange. Des larmes de cyprine accompagnent leur retrait, coulant paresseusement des muqueuses encore bâillantes. Elles glissent, petites gouttes troubles sur mes chers nymphéas, en longs chapelets pâles collant au périnée. Mes doigts, mes bras sont las, mais ma bouche est vorace et ce dessert l’attire. Colette est assouvie, pourquoi ne pas goûter ce qu’elle a défendu ?
Je n’ai qu’à tirer ma langue pour l’atteindre. D’abord je lape le surplus qui encombre la fente, ensuite tout l’humide qui tapisse les nymphes. Je lave le corail, je ...
... nettoie le clito. Je vais de bas en haut, et puis de haut en bas. La mouille est jeune, tiède, et de saveur suave. Les senteurs marines ont disparu. La chatte de Colette est propre, ma salive et ses sucs ont fait bonne lessive. Il suffit de descendre pour finir le travail. Je retrouve l’âcreté du début sur le périnée, et au-delà, enfin, je découvre l’œillet. C’est doux et souple, poivré et musqué. J’en parcours les bords, j’en lisse les fronces, j’en caresse les plis. En bref, je le rends net et j’emplis mon palais d’un bouquet nouveau en m’étonnant moi-même.
— Petite coquine !
L’exclamation soudaine me dégrise. Comme une gamine prise en faute, je lève un œil inquiet. Je rencontre un large sourire amusé et un regard malicieux brillant de tendresse.
— Il y a longtemps qu’une nouvelle adepte ne m’avait fait autant jouir, poursuit Colette. Merci, Chantal chérie, vous êtes une merveilleuse élève et une charmante amoureuse, qui me fournit un excellent prétexte pour vous punir demain de m’avoir désobéi ce soir !
— Je suis heureuse de vous avoir donné autant de plaisir que vous le dites, Colette. Tant pis pour moi si j’ai été aussi une vilaine fille. Vous pourrez me punir comme vous voudrez, je crois que je vous aime…
— Petite folle adorable, donnez-moi un baiser, se contente-t-elle de répondre en caressant mes cheveux.
Je me redresse pour retrouver sa bouche et la fraîcheur me saisit. Elle m’enlace et je me colle langoureusement contre son corps chaud. Mais malgré son ...