1. Fessée et dessert


    Datte: 11/01/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, jeunes, oncletante, fête, fsoumise, fdomine, odeurs, Oral yeuxbandés, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... heureuse. Vous caresser tout ce temps m’a bien émoustillée, une longue minette m’aiderait à trouver un sommeil réparateur.
    — Laissez-moi vous lécher, alors ! Je vous promets de vous brouter longtemps le minou !
    — Je vous rappelle que nous avons fait l’impasse sur la douche en rentrant.
    — M’en fiche ! Ouvrez les cuisses !
    
    Elle rit. C’est déjà fait, je m’en aperçois en me mettant à genoux. Normal : je suis assise entre les siens depuis que nous sommes dans le lit. Hé bien, non, ça ne me suffit pas. Je veux qu’elle les écarte encore plus. D’ailleurs, c’est moi qui l’y oblige. Je tiens à ce que ses jambes soient remontées plus haut, qu’elle expose totalement ses trous. Elle se laisse faire, complaisamment passive, et, je le soupçonne, heureuse de mes initiatives.
    
    Une discrète (euphémisme ! ) odeur de marée chatouille mes narines. Pas grave, ce n’est pas en ces lieux qu’est mon objectif premier. J’ai en tête les souvenirs nocturnes et récents de ses cajoleries sur mes seins. C’est à moi maintenant de lui rendre la pareille. Je m’applique à masser, à pétrir, à triturer et à caresser ses doudounes. J’alterne légèreté et dureté puisque plaisir et souffrance font monter son désir. Tant pis si je ne suis pas aussi experte qu’elle, je le suis assez pour qu’elle roucoule d’aise. Et c’est un tel bonheur de sentir palpiter et gonfler sa poitrine sous mes paumes !
    
    Je transpose ma recette, de la bouche et des doigts, sur ses mamelons. Je mords et je lèche, je suce et j’étire, je ...
    ... tète et je vrille. J’aspire l’aréole entre mes lèvres et je titille le téton du bout de ma langue. Qu’ils sont longs, ces tétons ! J’en ai la bouche pleine. Je pince l’un en caressant l’autre, je baise l’un en tordant l’autre. Je les irrite et je les calme, je les torture et les dorlote. Je déguste tour à tour leur souplesse et leur fermeté. Je me régale des plaintes que je suscite et des soupirs que j’exaspère.
    
    — Embrassez-moi, supplie Colette.
    
    Oui ma chérie, je t’embrasse ! Je m’allonge sur elle, ma poitrine épouse la sienne, nos seins s’entremêlent. Nos mains se cherchent, se trouvent, et nos doigts s’entrecroisent. Sa bouche se tend vers la mienne. Je la prends, je la fouille, nos langues s’enroulent et nos lèvres se boivent. Mon ventre est collé à son ventre, ses jambes m’enserrent, nos pubis se touchent. Je me frotte sur elle, elle m’attire plus près. Je joue des hanches, elle ondule du bassin. Nos chattes se caressent. Trop peu, pas assez ! Touche-touche de clitoris excités. Je me cambre, je la baise. Je suis son missionnaire, elle est ma catéchèse. Nos bouches se soudent, nos corps se fondent, nos peaux fusionnent. Nous jouissons.
    
    Elle ronronne, je ronronne. Nos regards se perdent dans le bonheur de l’autre. Je bécote ses joues, ses lèvres, son nez, ses yeux, son menton. Elle caresse ma nuque, mes épaules, mon dos, mes flancs, mes fesses. Je love mon front dans la moiteur de son cou, elle appuie son visage dans la chaleur du mien. L’affection et la sueur nous ...
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