1. Fessée et dessert


    Datte: 11/01/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, jeunes, oncletante, fête, fsoumise, fdomine, odeurs, Oral yeuxbandés, fouetfesse, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... retroussé dans l’aine, était quant à lui trempé… N’importe ! Colette aurait bien aimé savoir à quoi rimait ce fichu accessoire, sans oser pourtant le demander ni avoir le loisir de se décider à le faire.
    
    — Allons mes Chéries, il est temps de vous secouer, déclara Ève en s’ébrouant. Le Donjon nous attend !
    
    À la tête d’un cortège que n’aurait pas renié Bacchus, elle organisa ses troupes en bon ordre derrière ses fesses. D’abord venaient Davila et Françoise, puis Olga au bras de Christine. Les Sorèles suivaient, Irène soutenant affectueusement Gwladys, et précédaient Issa et Jenny devant Aloïse accouplée à Clémence. Colette fermait la marche, seule place que, en toute humilité, pouvait occuper une Novice.
    
    Sa position de serre-file lui offrait l’avantage d’observer et de comparer les dix corps nus montant les escaliers à la suite de sa Maîtresse. La diversité des anatomies n’entachait pas l’harmonie de la procession. Les dos et les croupes montraient les différentes carnations, la peau bronzée de l’une ou l’albâtre de l’autre, qui s’opposaient et s’accordaient. La silhouette brune et fine de Davila contrastait sans heurter avec les formes pleines et douces de Françoise. Les coiffures, sombres ou claires, auburn ou châtain, composaient une palette dont les nuances soulignaient la rondeur ou la sveltesse de telle ou telle morphologie. Même le tanagra de la gracile Aloïse savait mettre en valeur les courbes plus lourdes de Clémence.
    
    Colette s’attardait sur les ...
    ... blondeurs de la tante et de la nièce dont les hanches également fuselées dansaient à hauteur des cheveux noirs de Jenny et Issa, encore postiches pour la première. De palier en palier, le défilé de nudités atteignit le dernier étage. La porte marquée « Grenier » était ouverte. Elle donnait sur une autre, d’aspect massif, portant l’inscription « Lasciate ogni speranza, voi ch’entrate ». Ève déverrouilla la serrure et s’effaça.
    
    — Entrez Mesdames, voici le but de notre voyage. Il nous accueillera jusqu’au bout de la nuit. Bienvenue au Donjon de Calypso !
    
    Et, deux par deux, elles entrèrent.
    
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    Mon crayon reste en suspens, j’attends la suite. Elle ne vient pas. Je me tourne vers Colette qui torture délicatement mes seins.
    
    — C’est bizarre d’avoir appelé le donjon « calypso », dis-je un peu au hasard pour la relancer.
    — Calypso, c’était le nom de domina de Ève, si vous n’avez pas compris.
    — Bon. Vous avez raison, j’aurais pu le deviner. Mais quoi, après cette entrée ?
    — Rien d’autre ! C’est tout pour aujourd’hui, réplique t’elle en tiraillant un téton et en pinçant l’autre. Vous apprécierez beaucoup mieux la suite demain, ma chère Chantal, après avoir été initiée pour de bon.
    — Bien, Maîtresse, réponds-je un peu dépitée.
    — Pas encore ! Pas encore, ma chérie. Gardez vos fantasmes jusqu’à ce qu’ils deviennent réalité, me taquine-t-elle. Ne soyez pas fâchée ! Je veux bien vous accorder une petite compensation en attendant.
    — Votre chatte !?
    — Elle en serait ...
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