La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1655)
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... dizaine de minutes à me baiser littéralement la bouche sans discontinuité, que l’homme se raidissait, sa queue se contractait, ses couilles remontaient, quand il jouissait à grand bruit sans aucune retenue, tapissait mon palais et ma gorge de bonnes giclées saccadées de foutre que j’avalais sans me faire prier. Peu après, je nettoyais ce membre redevenu très rapidement flasque et me régalais de ces dernières traces de sperme que ma langue cueillait dans les replis de son prépuce. A cet instant, le téléphone de ce pervers personnage sonnait. Il décrochait :
- Re bonjour Monsieur le Marquis.
- …..
- Oui, je commence tout juste mes mesures… celle de sa bouche ! Je suis couturier et lui est un bon tailleur … mais de pipe, mon cher Edouard.
- …..
- En effet, il est assez doué ! Dites-moi, Edouard, vous comptez lui laisser tout cet attirail sur sa nouille et ses couilles, le jour de la cérémonie ?
- …..
- Bien…, alors il faut oublier le pantalon trop ajusté, pas de sous-vêtement non plus… j’ai une petite idée, que diriez-vous d’un pantalon assez ample, style sarouel, avec un système de brides permettant à ses burnes lestées de ne pas trop bringuebaler ?
- …..
- Entendu Monsieur le Marquis, je vais m’arranger pour ça aussi… Son plug ne bougera pas, soyez en certain ! De toute manière, au niveau de son cul, je prévois un zip discret, permettant d’ouvrir totalement derrière l’entrejambe, ça me semble indispensable, pour contrôler le cul de cette pute ! Et ...
... aussi pour le prendre du cul, disons à la va-vite, sans le défroquer !
- …..
- Oui bien sûr… Je crois aussi… Des couleurs chaudes et chatoyantes, je viens de recevoir de belles étoffes carmin… Elles sont dans le ton de la saison et puis cette couleur lui sied parfaitement à ce bâtard, je viens de laisser un bel échantillon de cette teinte, tout en nuance sur le corps de cette pute… Si vous voyez ce que je veux dire mon cher Edouard !
- ….
- Oui absolument, chemise blanche en soie naturelle, blousante, avec boutons pression sur le devant, car plus facile à dégrafer et col Mao fermé par un lien en cuir, telle une petite laisse, de la même teinte que le pantalon et la veste… Vous pouvez compter sur moi, Monsieur le Marquis…
Leur conversation perdurait, je n’écoutais plus… tellement abasourdi par ce que je venais t’entendre, tellement persuader que je ne ressemblerai à rien ou pas grand-chose dans ces vêtements, certes taillés sur mesure, mais parfaitement adaptés à mon conditionnement de bâtard… Que diraient mes proches, ma famille si toutefois j’avais l’autorisation de les convier ? Je préférais ne plus réfléchir… Alors, inlassablement, je continuais à lécher cette paire de couilles, cette raie anale maintenant écartée, cet anus s’offrant à ma langue, me sentant particulièrement bien à ma place entre les jambes de cet odieux personnage. Je m’offrais telle une pute, cuisses écartées, en laissant ses doigts me pénétrer, me fouiller, prendre possession de mon antre ...