La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1655)
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... fauteuils comme s’il était chez lui. Je ne bougeais pas, restais ainsi, je venais juste, assez instinctivement, d’écarter les cuisses pour laisser bien en vue mon cul, mes couilles enfermées dans un lourd ballstrecher et ma nouille encagée.
- Crois-tu qu’il soit raisonnable de me faire attendre derrière une porte ? Lève-toi sale chienne, vient devant moi.
Je tremblais de froid, d’excitation… Difficile de décrire ce que je ressentais précisément, mais le fait de n’être rien, qu’un simple objet malléable et corvéable, qu’une chose utilisée de quelle que manière que ce soit, où que ce soit, ne me laissait pas indifférent, ces frissons n’étaient qu’une réaction chimique qu’envoyait mon cerveau en fusion, à mon épiderme physique.
- Ecarte mieux tes cuisses de salope, mains derrière la nuque, tend ta croupe de pute !
A cet instant, le tailleur sortait de sa mallette, un lourd martinet aux multiples lanières souples en cuir épais. Je voyais cet homme prendre tout son temps, pour m’effrayer davantage. Le premier coup tombait sur ma poitrine, il me séchait véritablement mais je ne le montrais pas, je ne bougeais pas. Les coups suivants étaient cuisants, cinglants, humiliants et insupportables… Mais je ne disais toujours rien, serrant ma mâchoire et mes poings pour tenir. Comment faisais-je pour ne rien lâcher, pas même un son ne sortait de ma bouche. Je n’opposais aucune résistance, alors que les coups donnés marquaient mon corps, striaient ma peau, à tel point que ma ...
... peau était devenue rouge écarlate. Je voyais ce sadique pervers préparer un énième coup et je savais que celui-ci comme les autres ne me ferait pas plier. Je me sentais fort, tenace, combatif avec de l’orgueil, de l’amour-propre, de la gloire peut-être, de la fierté, sûrement. Jusqu’à ce dernier coup, plus pernicieux, plus sadique, là juste entre mes jambes, cinglant mes couilles, celui-là me terrassait. Je tombais à genoux, bouche grande ouverte, je ne pouvais retenir des larmes. L’homme alors m’attrapait par les cheveux, me crachait à la gueule et me giflait à plusieurs reprises !
- Ton endurance vient de me surprendre sale pute, mais sache que j’ai plus d’un tour dans mon sac pour te faire plier, pour te casser et te rabaisser, tu es fait pour ça ! Tiens suce maintenant… la chienne.
Cet homme odieux venait de sortir son gros sexe de son pantalon et me le plantait directement au fond de ma gorge. Ses deux mains saisissaient mes oreilles pour labourer ma gueule à grands coups de butoir. Il s’enfonçait dans ma gorge pour se retirer et s’enfoncer plus loin encore, plus vite. J’étais assujetti à ces va-et-vient incessants et brutaux que lui seul dirigeait. Je me laissais faire, m’empalais sur cette bite pas très longue, mais épaisse, en me sentant bien à ma place tel un objet de distraction, un vide-couilles, un sex-toy, un esclave sexuel n’étant là que pour me donner et apporter délectation et bien-être à toute queue se présentant à ma bouche. Ce n’est qu’au bout d’une ...