Nu à l'hôpital (04)
Datte: 10/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bySJeje, Source: Literotica
... le bruit de la porte. Mon bourreau entre d'un pas décidé avec deux autres infirmières. Ces dernières se placent de chaque côté du lit, et commencent à le déplacer. Elles remontent légèrement les barreaux du lit. Voyant ces mouvements, je me lève, tentant de m'extraire, mais les deux infirmières, quasi simultanément, posent une main sur mon torse nu et me maintiennent. Elles attrapent après, chacune un bras. Je vois alors mon infirmière incrédule rentrer avec des sortes de lanières en cuir brun. Elle les passent à ses collègues qui, en quelques gestes assurés, m'attachent poignets et chevilles aux barreaux du lit. Sitôt fini, elles sortent en silence de la chambre me laissant, de nouveau, avec le premier binôme venu me rendre visite. L'infirmière bienveillante me regarde l'air peiné, me voyant ainsi attaché. Pendant ce temps, mon bourreau saisit le lit, maintenant au centre de la pièce, pour le positionner en face de la porte. Une fois, l'opération terminée, elle s'exclame "Comme ça, nous pourrons vous surveiller".
Dans un geste presque maternel, sa collègue prend le drap et me recouvre avec. Bien que cela soit une faible consolation, ce geste m'apaise et protège enfin ma pudeur. Mais c'était sans compter sur mon bourreau qui sitôt arrache le drap, en disant à sa collègue "Ce drap a été souillé. Il doit aller au sale". Les deux sortent, laissant la porte ouverte. Je suis maintenant nu, les bras et les jambes écartés par mes liens. Faisant face à la porte, je suis exposé à ...
... tous ceux susceptibles de passer devant la porte de la chambre. Heureusement pour moi, la nuit est tombée. Les visites sont terminées et je n'aurais à priori comme spectateurs que les quelques infirmiers et infirmières qui passent dans le couloir.
Mon bourreau revient dans ma chambre avec un gobelet d'eau et me dit "Hydratez-vous!" Assoiffé, j'ouvre la bouche et la laisse y vider le contenu du verre. Elle sort de la chambre. Je suis alors surpris par un léger goût amer dans la bouche. M'aurait-elle drogué? M'aurait-elle donner un sédatif?
Les minutes passent et je ne vois pas mon état changé. Je finis par me dire que je me suis injustement angoissé. Soudain, je suis pris d'une violente érection. Je ne comprends pas pourquoi elle se déclenche. Je tente de penser à autre chose, de penser à des choses peu excitantes mais elle ne semble pas se calmer. Des infirmières passent, lançant des regards jugeant en direction de mon pénis gonflé. Cette érection s'éternise et ne se calme pas. Elle commence à devenir réellement douloureuse. Je sens mon sexe pulser.
Alors que je suis concentré sur mon pénis douloureux, je vois face à moi, une vieille dame, l'air désœuvré. Elle rentre dans la chambre et s'approche du lit. Elle fixe pendant plusieurs minutes, mon érection, dans un silence pesant. Elle finit par s'approcher davantage, en posant le bout de ses doigts sur ma cuisse. Je suis paniqué par la scène. Je me débats mais mes liens tiennent. Je vois soudain une infirmière passé et ...