1. Nu à l'hôpital (04)


    Datte: 10/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bySJeje, Source: Literotica

    Je reste sous le choc. Immobile sur ce lit d'hôpital, nu et encore mouillé par mes propres secrétions. Je réalise que cela fait plusieurs heures que je suis exhibé, nu, dans cet hôpital. J'ai, bien que je n'ose y croire, subi un viol.
    
    Soudain, j'entends la porte s'ouvrir dans une bruit de fracas. Sursautant, je repositionne les mains sur mon sexe, craignant l'arrivée de nouveaux visiteurs. Mon bourreau rentre dans la pièce, secondée par une autre infirmière. Je reconnais cette dernière. Elle qui m'avait chaleureusement accueilli et avait plaisanté avec moi.
    
    Mon infirmière tortionnaire, fixant mes mains, me dit : "Cessez cette fausse pudeur! Plus personne n'est dupe". Aussitôt, je place mes mains, le long du corps, exposant mon pénis encore humide. Voyant l'air interrogatif de l'autre infirmière, je réalise que mon geste spontané semble inexplicable, même pour moi. Est-ce par soumission face à cette infirmière qui me fait paniquer? Est-ce par peur de subir de nouvelles foudres de sa part?
    
    Sorti de ma réflexion, mon bourreau s'adresse à sa collègue : "Vous voyez! Je n'ai jamais cru à son histoire. Ce garçon n'est qu'un dangereux pervers. Sitôt avez-vous quitté les lieux, qu'il s'est attaqué à mes malheureuses stagiaires. Il leur a proposé de faire sa toilette. De toute évidence, et il l'a montré de mainte façons, il a pris un plaisir pervers à un acte qui devrait être médical! Et là ... là... nous le retrouvons à s'adonner à des plaisir solitaires dans nos chambres ...
    ... d'hôpital!"
    
    Sa collègue me regarde, l'air incrédule. Voyant la bienveillance dans son regard, je la fixe droit dans les yeux, désespéré, cherchant de l'aide. Je lui dis "Non! Non! Ce n'est pas vrai. Ce n'est pas comme ç..". Je suis alors interrompu par mon bourreau qui m'interpelle "Oseriez-vous nier? Est-il nécessaire que je fasse revenir ces malheureuses stagiaires pour qu'elles témoignent de vos vices?". Je réalise alors que son plan est bien construit et que si les stagiaires devaient être interrogées, elles iraient dans son sens. Résigné, je baisse alors la tête dans un soupire et dit "non".
    
    L'infirmière incrédule me fixe pendant un moment, semblant cherché mon regard. Me voyant resigné à ne pas me défendre, elle se retourne vers sa collègue et d'une voix hésitant, lui dit "Vous pensez qu'il faille appeler la sécurité?".
    
    Pris de panique, je veux réagir, je sens la pression monté. Alors que mes lèvres commencent à s'ouvrir, aucun son ne sort. Je m'interrompt. Je commence à me dire que c'est peut-être là ma chance de salut : une dernière humiliation pour pouvoir sortir de cet hôpital et des griffes de cette infirmière tyrannique. Ne répondant pas, mon tyran le fait à ma place : "Hum. J'imagine qu'il serait encore capable de nous faire porter la faute d'avoir égaré ses vêtements... Attendez, je crois avoir une solution". Elle saisit le bras de sa collègue et l'amène hors de la chambre. Qu'a-t-elle encore inventé?
    
    Deux minutes plus tard, je sursaute, de nouveau par ...
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