1. Fin d'après-midi


    Datte: 08/07/2019, Catégories: fh, couple, fdomine, hdomine, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... n’était plus qu’une femelle qui chevauchait un homme dont elle s’enfonçait le dard de plus en plus gonflé. Ses efforts la faisaient transpirer et mélangeaient une odeur de sueur à son odeur de femme. Elle se penchait en arrière puis en avant, à droite puis à gauche afin de bien sentir, partout, le frottement du membre viril. Elle aimait monter à cru ce bel étalon qui allait – c’était désormais certain – lui procurer de manière imminente les satisfactions attendues. L’orgasme arriva alors rapidement et, hasard d’une synchronisation non programmée mais bienvenue, c’est presque exactement à la fin du temps qui lui était imparti que la femme explosa sur le sexe de sa monture.
    
    Les deux amants passèrent ensuite quelques quarts d’heure enlacés dans les bras l’un de l’autre avant que, la première, la femme reprenne ses esprits et la parole.
    
    — J’ai de nouveau tout apprécié, en ce début d’après-midi. Tout, absolument tout. Mais j’ai particulièrement aimé vous sodomiser tout à l’heure. Ce fut une première pour moi. Et savez-vous… dit-elle en laissant traîner sa phrase volontairement interrompue. J’aimerais aussi qu’à votre tour vous me sodomisiez. Aujourd’hui ! J’y suis prête, je le veux !
    — Je n’ai pas tellement envie de le faire.
    
    Il laissa volontairement passer le moment de déception qu’il remarqua.
    
    — Ou du moins, pour être plus précis, ce n’est pas ce verbe que je vais préférer… Celui que vous venez d’utiliser est bien précieux, à mon goût. Beaucoup trop littéraire pour ...
    ... ce que j’ai envie de vivre avec vous dans les moments qui viennent.
    
    Volontairement encore, il n’ajouta rien d’autre et laissa sa partenaire réfléchir, et hésiter.
    
    — J’ai envie… j’ai envie… que vous me preniez autrement.
    
    Pas non plus d’autre réaction de sa part. Elle comprit qu’il lui faudrait passer par les volontés de l’homme en utilisant les mots crus qu’il attendait.
    
    — S’il vous plaît, j’aimerais que vous m’enculiez.
    — Voilà, c’est très bien ! Pourquoi donc hésiter tellement devant un mot ? Il n’est pas vulgaire, ou du moins pas vulgaire dans ce contexte ; pas vulgaire entre vous et moi, dans votre bouche, et dans cette chambre ; parce qu’il est sain et naturel, qu’il correspond à une envie, la vôtre, partagée, par moi. Vous avez, en femelle, l’envie de recevoir mon sexe dans votre cul. Tout simplement. Et comme j’ai envie de vous le mettre, il n’y a que deux choses à faire : se le dire, et le faire ; vous venez de me le dire, je vais essayer de le faire, comme vous avez su le faire avec moi, il y a une heure environ.
    — Enculez-moi, enculez-moi bien, enculez-moi profond.
    — Je vais essayer de le faire, et de le faire comme vous dites. Par devant aujourd’hui, car je veux que nous nous regardions bien dans les yeux Quand nous jouirons. Mais il me faut au préalable vous préparer, comme on le fait d’une appétissante volaille avant de la passer à la casserole.
    
    Elle fut sans doute un peu choquée par cette comparaison qu’il avait choisie volontairement provocante ...
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