1. Fin d'après-midi


    Datte: 08/07/2019, Catégories: fh, couple, fdomine, hdomine, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :Jérôme et Hélène ont fait connaissance dans un TGV d’affaires et commencé à nouer une relation qui leur fait découvrir des plaisirs dont les avaient tenus écartés leurs mariages conventionnels.Ils viennent de se retrouver dans une chambre d’hôtel.
    
    Elle était face à lui dans ce grand fauteuil, les jambes repliées au-dessus des accoudoirs. Il lui avait relevé sa jupe et avait à sa disposition toute la zone comprise entre le haut des bas, quelques centimètres de peau, la culotte et la ceinture de la jupe relevée.
    
    — J’ai l’impression, Hélène, et ce n’est pas pour me déplaire, que votre culotte n’est pas sortie indemne du taxi. À quoi pensiez-vous donc ?
    
    Après lui avoir enlevé chemisier et soutien-gorge, il lui demanda de croiser ses mains derrière sa nuque. Il appréciait en effet tout particulièrement cette situation où la femme, sans être le moins du monde entravée, était néanmoins totalement soumise, presque de sa propre volonté. Les mains, immobilisées, n’étaient disponibles pour rien. Ni pour ces petits gestes de fausse pudeur qui visent souvent, dans des mouvements incontrôlés, à masquer telle ou telle partie de l’anatomie et qui conduisent une femme à tenter de cacher ses seins, ou un homme de masquer son sexe. Il n’y avait là, au contraire, que le corps de la femme, à regarder dans sa nudité, à caresser selon son bon plaisir, à sentir tendu et prêt à vibrer, à solliciter ici et là. Ce n’était pas nouveau : il appréciait beaucoup ...
    ... ses aisselles et il en avait ainsi une vue très ouverte. Il passa de bons instants avec ses tétons, honorablement durcis, avec lesquels il joua un peu avant de remarquer quelques poils pubiens qui dépassaient de la culotte. C’était une invite à prendre les bords de la culotte avec ses mains et à les tirer vers le haut, générant un mouvement de fort frottement du tissu sur les chairs ouvertes de sa maîtresse. Il aima le souffle qu’il sentit s’accélérer et la langue qu’elle passait sur sa lèvre supérieure dans un mouvement bien connu et très sensuel qui attestait de l’arrivée et de la montée du plaisir…
    
    — Votre culotte est de trop ; enlevez-la !
    
    L’autorisant ainsi à quitter quelques instants le fauteuil pour procéder à l’opération. Il en profita pour lui-même se déshabiller.
    
    — Votre culotte est évidemment de bon goût, et il m’est idée que vous le serez aussi…
    
    Ils se réinstallèrent comme précédemment dans ce fauteuil massif et confortable : lui bien assis au fond du fauteuil ; elle face à lui, les cuisses écartées en appui sur les deux larges accoudoirs, les mains croisées derrière la nuque.
    
    — Vous êtes absolument magnifique ainsi et j’avoue que la position dans ces fauteuils me fait penser à notre première rencontre, il y a quelques petites semaines, quand nous étions face-à-face dans deux autres fauteuils du TGV ; je n’aurais jamais imaginé une si belle évolution de nos rapports.
    — Oui, j’aime beaucoup la tournure que semble pouvoir prendre notre relation. De ...
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