Fin d'après-midi
Datte: 08/07/2019,
Catégories:
fh,
couple,
fdomine,
hdomine,
Auteur: Cedral, Source: Revebebe
... la chambre, une grande serviette enroulée autour de la taille, il retrouva Hélène vêtue d’un de ces peignoirs doux que les chaînes d’hôtels mettent à disposition de leurs clients. Elle avait remis sa culotte et ses escarpins et était assise dans le grand fauteuil de la chambre.
— Posez donc la grande couette du lit par terre, en bas de mon fauteuil et, s’il vous plaît, enlevez donc cette serviette, complètement inutile. Je veux vous voir complètement nu, sans artifice, car je n’ai pour le moment, et assez curieusement, pas eu le temps de vous contempler vraiment, sous toutes les coutures, si vous me permettez l’expression.
Il s’exécuta bien sûr sans difficulté mais fut surpris de voir sa virilité reprendre instantanément une grande vigueur à l’écoute de cette pourtant bien modeste sollicitation.
— Vous voilà bien redressé ! Quel bonheur : nous allons de nouveau pouvoir bien profiter de tout cela ! J’aimerais qu’à votre tour vous ne prononciez pas un mot pendant une heure et que vous m’obéissiez bien docilement. Pour l’heure, préparez-moi donc un thé avec le matériel et la bouilloire qui est sur la table. Je l’aime chaud.
Elle aima regarder Jérôme qui préparait le thé, avec application, le sexe dressé et manifestement dur. Elle l’observait avec une belle admiration en se demandant silencieusement la manière dont elle allait le solliciter. Elle aima, assise et directive, être servie par l’homme docile et debout. Elle apprécia, entre deux gorgées de thé chaud, ...
... caresser tout doucement ce membre au garde-à-vous, comme prêt à obéir aux premières sollicitations. En sentir la chaleur, en deviner l’odeur, l’imaginer un peu plus tard en action.
— Une belle idée me vient, cher ami. Allez donc ramasser mes bas qui sont par terre. Ils seront assurément un peu courts pour vous, mais j’aimerais tellement que vous les enfiliez…
Un peu étonné par cette subite requête, il n’eut toutefois ni le désir ni l’idée de s’y soustraire ; mais, par un mouvement de curieuse pudeur, il eut le premier réflexe de se tourner pour enfiler les bas de sa maîtresse.
— Non, non, n’en faites rien : je vous veux face à moi afin d’observer tous vos mouvements.
Nu, soumis, bandant face à la femme exigeante, il apprit à faire ces gestes simples mais étonnamment impudiques que font d’habitude les femmes au moment de mettre ou de remettre leurs bas. Il écarta les bras, ouvrant ainsi les aisselles, enfila les bas l’un après l’autre, les remonta le plus haut possible et les fit tenir en collant leur bande adhésive à la moitié de ses cuisses. Il apprit à vérifier l’absence de faux pli et soumit tout ceci à l’approbation de la femme assise qui ne perdait pas une miette de cet étonnant spectacle. Avec savoir-faire, elle apporta quelques menus ajustements à ce qu’avait fait l’homme et en profita pour vérifier la raideur de son membre turgescent. Avait-elle là, déjà, l’idée de s’y empaler ? Le ferait-elle, d’ailleurs ? Rien n’était encore certain, mais il lui était acquis ...