1. Fin d'après-midi


    Datte: 08/07/2019, Catégories: fh, couple, fdomine, hdomine, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... possible de repousser le moment fatidique, même si on peut légitimement se demander ce que la décence vient faire dans cette histoire de grande et belle bourgeoise crûment sodomisée.
    
    Il approcha son sexe du cul de la femme mûre, le positionna exactement dans l’alignement, lui écarta encore un peu les cuisses et imprima la très douce mais très ferme pression verticale qui permit l’intromission lente et progressive de son membre dans le fondement d’Hélène. Elle hurla de plaisir en comprenant que le vrai travail de piston allait enfin commencer. Elle renversa la tête en arrière, ferma les yeux, serra les poings, durcit les tétons et feula longuement tandis qu’il lui touchait le fond avant de commencer son travail de va-et-vient. Il y mit son application et sa santé, et se plut à interpréter comme des preuves de plaisir les cris ininterrompus de sa splendide et fière partenaire. Ce n’est qu’à ce moment-là, parce qu’il considérait qu’elle avait pu ainsi isoler le plaisir de la sodomisation et le goûter à sa juste mesure, qu’il jugea opportun d’utiliser de nouveau ses doigts qu’il fit pénétrer dans le sexe de la dame. Il synchronisa ses mouvements afin que ses doigts puissent sentir son sexe, quand celui-ci se trouvait au fond de son cul. Belle impression !
    
    Les feulements se transformèrent en gémissements, puis en petits cris. Qui eux-mêmes redoublèrent, et il se demanda même si elle n’était pas en train de lui demander une grâce qu’il n’était bien entendu pas question ...
    ... de lui accorder. Avait-elle eu le moindre scrupule, il y a quelques quarts d’heure, à le sodomiser avec son talon-aiguille ? À cette seule pensée, il redoubla de double attention, du sexe et des mains, jusqu’au moment où, n’y pouvant plus et incapable de repousser davantage l’instant de la libération finale, il explosa dans le beau cul de sa partenaire.
    
    La fin de l’après-midi se révéla plus calme, avec quelques agaceries, plutôt anodines, sur le lit, sous la douche, dans le fauteuil encore, mais il n’y eut plus grand-chose dans leurs relations ce jour-là. Ils décidèrent d’un commun accord de mettre fin à ce bel après-midi par une belle douche commune qui leur donna l’idée de petits plaisirs ultérieurs, qu’ils auront un jour l’occasion de se donner dans des salles de bain. Ils appelèrent un taxi pour Hélène. Le temps pour elle de s’habiller, d’ajuster ses sous-vêtements, dont cette culotte, qu’il faudrait jeter à la machine dès son retour chez elle, d’un petit coup de rouge à lèvres et d’un très court accroupissement final, juste au moment de quitter la chambre, pour une courte et silencieuse petite gâterie qu’ils apprécièrent l’un et l’autre.
    
    Le téléphone sonna pour annoncer le taxi. Un très léger baiser posé sur la bouche. Pas un autre mot. Hélène sortit de la chambre.
    
    Ses pensées dans le taxi, en regagnant son domicile, étaient douces et calmes après cet après-midi libre, plein, riche et complet. Le week-end qui suivit, très classique, fut rempli de ces doux ...