La passerelle - Histoires de Sexe

La passerelle

... désirs. Elle les imaginait déjà lui lécher la chatte à tour de rôle, ou bien leurs deux bouches sur ses seins. Hummm, oui, elle s’y voyait déjà. Elle les dresserait !

Le lendemain, alors que j’étais en réunion, je reçus un texto de sa part. C’était une photo d’elle, chez nous, en compagnie de nos deux voisins. La légende qui accompagnait la photo était la suivante : « ne t’inquiète pas, je les ai juste invités à prendre le café ».

Quelques secondes plus tard, elle m’envoya le texto suivant :

Nous n’avions jamais parlé d’avoir des relations extra-conjugales, mais j’avais totalement confiance en elle. Surtout, je ne saurais dire pourquoi, mais j’étais terriblement excité à l’idée de la savoir faire l’amour avec eux alors que moi, j’étais coincé en réunion, incapable de faire quoi que ce soit. Sans trop que je m’en rende compte, je lui répondis :

De longues minutes s’écoulèrent. Je ne suivais plus rien à la réunion. Que faisait-elle ? Que faisaient-ils ? Étaient-ils en train de faire sauvagement l’amour ? Je fixais mon téléphone en espérant le voir s’allumer. Mais rien. Je tentais, déçu, de reporter mon attention sur le discours de l’intervenant, mais je n’arrivais pas à me concentrer. Alors que je commençais à me dire que tout ce petit jeu n’avait été qu’une folie passagère, mon écran de portable s’illumina. J’ouvris le message d’un geste fébrile et en faisant bien attention de le garder caché des regards indiscrets. Je n’en revenais pas. Une bouffée de chaleur ...

... m’envahit lorsque je vis ma femme, seins nus, tenant deux beaux sexes bien tendus à l’entrée de sa bouche.

Oh, quelle diablesse, en effet ! Je bandais comme un fou. J’en voulais plus ! J’étais à la fois terriblement excité, mais aussi très frustré, coincé que j’étais dans cette salle de réunion à écouter un type qui ne m’intéressait pas du tout.

Je voulais être auprès d’eux, les regarder prendre possession de son corps, obéissant à ses ordres, entièrement dédiés à son plaisir.

C’est alors qu’elle m’envoya photo sur photo. Ils la léchèrent chacun leur tour avant de la prendre en levrette. Je la voyais se faire dévorer le sexe, son corps courbé par le désir. Sur une autre photo, je voyais une nette trace de main sur son beau fessier, preuve qu’elle avait été fessée comme il se doit. Je n’en tenais plus. J’avais envie de fuir cette pièce pour aller me branler dans les toilettes. Il me manquait le son, le bruit de leurs gémissements et l’odeur de leurs corps mélangés. Je voulais voir leur sperme jaillir sur ses seins. Je voulais voir son regard plein de désir.

C’était bon de les voir prendre ainsi leur pied. Jamais elle ne m’avait paru aussi excitante ainsi prise. Nos deux jeunes voisins le prenaient comme il se doit et je crus halluciner lorsque je reçus une photo d’une belle bite dans son cul. Ma femme se faisait prendre en double pénétration et j’étais coincé dans cette salle de réunion avec une érection de tous les diables. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de ...