La passerelle
Datte: 07/01/2024,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
candaul,
dominatio,
Auteur: Misterblonde88, Source: Revebebe
Après être descendu du train après une longue journée de travail, je traversais la passerelle enjambant les rails qui menait à notre immeuble. Il faisait gris et froid, et je n’avais qu’une hâte : rentrer chez nous. Soudain, je sentis mon portable vibrer dans ma poche de pantalon. C’était ma chérie qui m’appelait. Je m’arrêtai donc pour répondre.
— Allô ?
— Tu me vois ?
— Où es-tu ?
Je la cherchai partout du regard, mais ne la voyant nulle part.
— Chez nous, idiot. Regarde notre appartement. Tu me vois derrière la fenêtre ?
— Ah, mais oui ! Je n’avais jamais fait gaffe qu’on voyait chez nous depuis la passerelle.
— Moi non plus, mais ça me donne des idées. Reste où tu es.
Elle raccrocha. Je me tenais immobile, les piétons me doublaient, se demandant ce que je faisais arrêté comme ça en plein milieu de la passerelle. Ce que je faisais ? Je regardais ma femme se déshabiller dans notre appartement. Je la vis déboutonner sa chemise lentement, elle ne portait pas de soutien-gorge, la coquine ! Puis, ce fut son jean qu’elle fit glisser à ses chevilles. Petit à petit, elle se mettait à nue. Elle prenait sa large poitrine entre ses mains et jouait avec. Je pouvais distinguer en me concentrant bien le brun de ses tétons. Puis, elle commença à se caresser, les jambes bien écartées afin que je n’en perde pas une miette. J’étais fou de désir. J’avais envie de courir chez nous et de me mettre à genoux devant elle pour dévorer son sexe trempé. Mais je restais à savourer ...
... le spectacle tout en jetant des regards de droite à gauche pour m’assurer que personne d’autre que moi ne la voyait. Personne n’avait idée de lever les yeux vers les immeubles en face de la gare, il y avait donc peu de chances qu’on l’observe. Elle me rappela et je pus entendre dans mon oreille ses râles de plaisir.
— Je t’interdis de rentrer tant que tu n’y seras pas autorisé.
— Oui, maîtresse, à vos ordres.
J’aimais qu’elle me dirige. J’aimais être soumis à ses désirs.
*
Ainsi commença notre vie dans ce petit immeuble proche du centre-ville. Lorsque je partais prendre le train pour aller travailler, il m’arrivait de croiser les locataires du dessous, deux jeunes hommes, un grand plutôt baraqué et l’autre plus fin, aux traits plus délicats. Ils avaient beau faire la fête tous les week-ends, ils étaient polis et très sympathiques. Quand il m’arrivait parfois de partir plusieurs jours pour le travail, le soir, seul dans ma chambre d’hôtel, je me masturbais en imaginant des scénarios coquins. Très rapidement, je me mis à imaginer ma femme se faire prendre à tour de rôle par ces deux jeunes bellâtres. Un soir, au lit, je lui en fis la confidence et cela sembla grandement l’exciter. Nous n’avions jamais abordé le sujet, mais ce soir-là, nous en avons discuté plusieurs heures et je vis en elle ce caractère dominateur que j’avais entrevu et qui me plaisait tant. Je voyais dans son regard brûlant de désir qu’elle rêvait de soumettre ces deux jeunes hommes à ses moindres ...