Les lois d'Asimov
Datte: 03/01/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
grosseins,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
zoo,
init,
mélo,
aventure,
sf,
fantastiqu,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... évoluer la science, il accéda aux désirs de sa compagne.
— D’accord, je dois te prévenir, je ne suis pas un expert, et de plus ce sera la première fois avec quelqu’un comme toi. Alors je risque de tâtonner un peu au début.
— Que tu tâtonnes ne me dérange pas, bien au contraire, dit-elle avec un sourire mutin.
Merde, si en plus les androïdes se mettent à faire de l’humour et des commentaires grivois, je suis mal barré !
Aussi ému que, lorsqu’encore adolescent, il embrassait pour la première fois une fille, sans parler de se retrouver nu avec elle, Sébastian devait se montrer à la hauteur, il y allait de l’honneur de l’humanité.
Ses lèvres picorèrent celles de sa compagne tandis qu’il lui caressait les cheveux. Ses doigts dessinaient les contours du visage d’Alexia.
Oubliée la créature cybernétique, il tenait entre ses bras une magnifique jeune femme qui entrouvrait la bouche sous ses baisers fiévreux, les langues firent connaissance, – car bien entendu, ses concepteurs l’en avaient pourvue –, et d’une main habile il baissa la fermeture de la combinaison, la fit tomber des épaules et empauma un sein.
Sébastian mordillait le lobe d’une oreille tout en passant le pouce sur un téton qui se réveillait. Il traça un chemin de baisers entre la joue et les mamelons.
— Je ne sais pas ce que tu me fais… mais mes circuits ne vont pas résister… pitié… encore, gémissait la belle qui venait d’empoigner le disque très dur de Seb et le secouait tel un shaker.
— Arrête, ...
... sinon je ne vais pas tenir, laisse-moi faire.
Sébastian dénuda totalement sa compagne, lui mordilla les tétons, les faisant se dresser de manière insolente. Insidieusement, il se déplaçait vers le nombril de la belle – car nombril il y avait aussi – puis descendit vers le mont de Vénus. Le créateur d’Alexia avait songé au moindre détail, des grandes lèvres gourmandes et pulpeuses, des nymphes délicates jusqu’au clitoris, rien ne manquait, ni même l’anus. Seb s’imaginant aisément la raison.
Sous sa bouche, la peau de celle qu’il considérait comme une vraie femme était souple, douce et chaude.
Désireux de faire honneur à sa compagne, Sébastian fit appel à toutes ses connaissances, tant vécues que livresques.
D’abord caresser les cuisses et les hanches, les inonder de baisers, venir enfouir le nez dans la toison blonde et y souffler pour en soulever les mèches folles. Folâtrer sur la tendre colline et visiter de la langue la délicate orchidée.
Fleur qui s’épanouissait, déployant draperies et dentelles de pseudo-peau. La récente administration de nanites avait réveillé une partie du corps de l’humanoïde, jusque-là inerte. Les terminaisons nerveuses mises en place, la belle « robote » sentait ses tétons gonfler, ses nymphes éclore pour la plus grande joie de Seb qui voyait ses efforts récompensés. Oubliée l’androïde, maintenant il tenait entre ses bras une sublime créature qui ondulait et gémissait sous ses coups de langue coquins.
Elle s’ouvrit à lui comme un ...