Cul et chemise
Datte: 31/12/2023,
Catégories:
fh,
gros(ses),
grossexe,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
rencontre,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... soixante-neuf. De les visualiser tête-bêche je priai pour que mon pote soit dessus et non l’inverse.
Pour l’avoir accompagné à de nombreuses reprises à la piscine, passion qui lui a dessiné un corps de rêve, je le sais bien bâti. Mais il est des poids qu’aucune musculature ne peut supporter, et Maria est de ceux-là justement ! Un mètre soixante de graisse face à un mètre quatre-vingt de muscles, le combat était perdu d’avance. Mais les gloussements masculins que j’entendais me confirmèrent deux choses. Un, mon pote était encore vivant, et deux, qu’il soit dessus ou dessous, il prenait son pied.
Bien que je ne comprenne toujours pas ce qui avait pu l’attirer chez elle, et encore moins qu’il puisse trouver son plaisir avec elle, étrangement j’étais heureux pour lui. Tant que, à mesure qu’elle le menait à l’orgasme, à mesure qu’il grognait, mon sexe s’érigeait. Une envie, encore inconcevable il y avait peu fit que je la prenne en main, cette étonnante érection. Alors, fermant les yeux, j’entamais une lente masturbation, laissant mon imagination divaguer au gré de sa folie, de cette folie de les imaginer, elle pesant de tout son ventre sur le torse de mon pote tout en lui dévorant la queue et lui le nez planté au creux d’un cul, contraint de l’ouvrir des mains afin de caresser l’espoir de pouvoir en atteindre le centre. Plus que m’amuser, cette vision m’excitait maintenant. Ma main, d’abord timide, devint intrépide, puis agitée, puis folle furieuse.
— Gaffe à pas la ...
... péter !
La voix de mon pote debout dans mon dos me stoppa net.
— Je…
— Cool, j’te comprends. Moi aussi à ta place j’me branlerais. Bon, j’te laisse finir. Et tu sais quoi ? … J’vais laisser la porte ouverte, comme au bon vieux temps.
Je n’osai pas le regarder, mais au vibrato de ses mots je savais qu’il se retenait d’éclater de rire. Je ne lui en voulais pas vraiment, à sa place j’aurais été bien plus caustique que lui. D’ailleurs ne l’avais-je pas été en cherchant ce que cette Maria pouvait avoir de si excitant pour qu’il la kiffe ainsi ?
Penaud, j’avais toujours mon sexe en main, hésitant entre finir ce qu’il venait d’interrompre si près du but et abandonner lorsque j’entendis très distinctement :
— Veramente !(Vraiment !)
— Sì. Si stava masturbando.(Oui. Il se branlait !)
— Ecco perché hai lasciato la porta aperta ?(C’est pour ça que tu as laissé la porte ouverte ?)
— Sì, se gli dà idee.(Oui, si ça lui donne des idées.)
Le salaud ! Non seulement il avait laissé la porte ouverte, mais, qui plus est, bien que je n’avais rien compris j’étais persuadé qu’il venait de lui raconter dans quel état il venait de me surprendre !
Durant une minute, je lui en voulus. À mort, que je lui en voulus, jusqu’à les entendre reprendre là où ils en étaient restés. Porte ouverte, sans plus la moindre barrière, je compris alors, comme si j’étais devant à les mater que mon pote et cette femme se léchaient à nouveau. Oui, j’en étais certain : à quelques pas dans mon dos, ils ...