1. Cul et chemise


    Datte: 31/12/2023, Catégories: fh, gros(ses), grossexe, grosseins, groscul, poilu(e)s, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral rencontre, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... l’énormité de son ventre, qu’elle aurait dû accoucher depuis des années. Quant à son nombril, ce cratère qui me charme tant d’apercevoir en temps normal, de l’avoir vu trôner au centre de cette boule m’en avait presque dégoûté.
    
    Mais ce n’était rien comparé au cul ! Et quand je dis cul, c’est que les mots me manquent pour qualifier ce… truc !
    
    Unique, indescriptible. Si… tant… trop… pas…, que je ne sais comment nommer ce haut lieu de mon plaisir sans manquer de respect à ce qui m’affecte le plus chez toutes les autres !
    
    Enfin, et pauvre de moi de les avoir vus à l’insu de ma vision de jeune mâle toujours en rut, j’ai constaté que ce quintal se mouvait, certes relativement aisément, grâce à deux poteaux aussi énormes que recouvert de varices et de cellulites sur lesquels des touffes de poils daignaient laisser apparaître de-ci delà un semblant de peau.
    
    Alors, oui et non, je ne comprenais pas ce qu’il pouvait trouver de charmant chez elle !
    
    — Bon, puisque t’es pas dedans j’vais me pieuter moi.
    
    Dedans, beurk ! pensai-je en le regardant la rejoindre ! D’ailleurs, avant de pouvoir oser caresser l’espoir de l’apercevoir, cette entrée si érotisante, si agréable et désirable, je te souhaite bien du courage, riais-je seul comme un con. Il s’en fallut de peu que je ne lui dise :si t’as besoin d’un coup de main, appelle un pote, mais par pitié pas moi !
    
    Tout sourire, j’ai éteint la télé et la console puis débarrassé la table basse. À peine avais-je transformé la ...
    ... banquette en lit que je l’entendis. Elle chantait en italien un concerto incompréhensible à mes oreilles. Certes, Pat parlait à la perfection la langue, mais de ne pas l’entendre dialoguer, une interrogation me tétanisa. Où était-elle la sienne de langue, justement ?
    
    Je dus lutter pour ne pas éclater de rire. Je l’imaginais en apnée, le nez perdu dans cette jungle, tête coincée entre les deux cuisseaux que j’avais vu déborder du shorty devenu string sur elle. Car oui, d’avoir malgré moi remarqué les forêts que deux manches courtes ne pouvaient décemment pas suffisamment cacher, je devinais que là où je l’imaginais être, cette langue aventurière, elle devait se frayer un passage à coups d’incisives affolées.
    
    Pour autant, Maria vocalisait. Je ne comprenais rien, mais à l’intonation, et à mon grand étonnement surtout, je pressentais que le ut final approchait. Puisque le grave devenu aigu gagnait tout autant en volume qu’en hauteur, j’en étais certain : la diva allait pousser sous peu la dernière note.
    
    Puis, d’un coup, plus rien. Silence total. L’aurait-il tant mené au grandiose qu’elle en était devenue aphone ? Ou alors elle l’avait asphyxié ! Quoique, dit en passant, c’eût été une belle mort. S’il en est une, de belle mort, évidemment !
    
    J’avoue, j’ai paniqué. J’étais prêt à aller frapper à la porte de chambre quand un grognement me rassura. Alors mon imagination repartit de plus belle.
    
    Oreilles à l’affût, je les imaginais d’abord avoir inversé les rôles, puis en ...
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