Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)
Datte: 31/12/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydominic47, Source: Literotica
... genoux, allongée au maximum, il la force à se cambrer davantage, et surtout lui écarte outrageusement les cuisses. Il veut pouvoir la prendre profondément, très profondément.
Il est aux anges quand il enfonce lentement son Priape en imprimant un mouvement circulaire à son bassin. Trois quatre fois il réitère ce forage en douceur. Il a l'impression de gagner un centimètre supplémentaire avec l'anus qui se dilate encore. De plus il semble que le forage circulaire est une tuerie pour Marie Charlotte. Elle feule en continu. Plus encore, elle accompagne, sollicite le Priape et se cambre davantage. C'est une femme désinhibée, assoiffée de jouissance, prête à tout pour se faire remplir. Max exulte de la voir aussi lubrique. Mais il doit changer car ces mouvements sollicitent beaucoup trop la zone sensible de sa hampe. Il pourrait venir plus tôt qu'il ne le veuille.
Max reprend alors doucement ses vas et vient, puis accélère le rythme et l'intensité, enfonçant l'énorme bite dans le trou maintenant totalement abandonné de sa belle-sœur. Enfin il se met à aller et venir dans son cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Marie Charlotte gémit, miaule en continue. Son conduit rectal est désormais bien moins serré qu'il ne l'était quelques instants plus tôt. Il s'adapte, de plus en plus à son Priape, se détend, épouse sa hampe. De même le besoin de pénétration est facilité par un sphincter compréhensif qui n'hésite plus à se relâcher et Il a maintenant l'impression de ...
... glisser facilement dans un colon graissé.
Parallèlement, les traits de Marie Charlotte se décrispent peu à peu, Max constate que son rictus de douleur est en train de changer, et ce ne sont pas les petits cris, les feulements, qui parviennent désormais à ses oreilles, qui lui disent le contraire. Toute trace d'arrogance et de volonté se sont maintenant entièrement évaporée. Elle gémit sans discontinuer.
« Aaaaaaaaahhhhhhahhahhhhhh ».
Marie Charlotte ne peut nier qu'elle aime ça. La douleur brûlante qu'elle ressentait est maintenant mêlée de plaisir charnel. Son esprit est absent, emportée par le besoin de son corps à satisfaire. De plus elle sollicite tant et si bien son bourgeon, qu'inévitablement le plaisir s'immisce entre la douleur de son horrible pénétration, inexorablement il grandit.
« Aaaaaaaaahhhhhhahhahhhhhh »
Ebahi, fasciné, subjugué, excité comme il ne pensait jamais l'être, Maximilien adore le spectacle de sa belle-sœur, crier, se tordre dans tous les sens, pleurer à chaudes larmes, supplier alors qu'il l'encule profondément, encore et encore, et encore, et encore, chaque poussée livrée avec un maximum d'effort et de lubricité.
Marie Charlotte atteint le point de non-retour. Sa bouche s'ouvre dans un cri silencieux alors que la tempête se déchaîne enfin à l'intérieur de son corps. L'orgasme a commencé au fond de son gouffre et éclate comme un volcan.
« AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHAAHHHHAAHHH »
Un énorme raz de marée fait convulser tout son corps, ...