1. Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)


    Datte: 31/12/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bydominic47, Source: Literotica

    ... la beauté du corps de sa belle-sœur, la douceur de sa peau, les trésors cachés, mais en plus il est doux, attentif à ses réactions. Avec ses mains il parcourt plusieurs fois son dos, du cou au coccyx et sur une impulsion, il se penche, recueille l'huile de massage et presse une belle quantité sur les reins. Il recommence ensuite à parcourir le dos, alternant fermeté et douceur, il dessine tous les muscles, s'imprègne de sa peau, apprivoise les frissons. Il n'oublie pas non plus ses seins. Il ne pourrait pas. Ses mains sont attirées par ces aimants.
    
    Max n'est pas un don juan, ses conquêtes se comptent sur les doigts d'une main. Elles sont plutôt jolies mais différentes. Blondes, brunes, châtain, cheveux longs ou courts, hanches dessinées ou non, elles ont pourtant un point commun. Elles ne sont pas grandes, moins d'un mètre soixante, et toutes n'ont aucun besoin de soutien avec leurs petits seins.
    
    Aussi, Marie Charlotte, très grande, avec ses fesses voluptueuses et sa poitrine lourde n'est apparemment pas le genre de femme qui l'attire. Mais qui peut connaitre les réactions d'un homme face à l'inconnu, devant des formes attirantes, une position suggestive, qui plus est totalement nue.
    
    Quand, inévitablement ses mains se posent sur les masses fermes et moelleuses, douces et nerveuses, il est captivé. Délicatement il les reconnait, les cajoles amoureusement, les caresse langoureusement, les triture doucement ; il les apprivoise. Et puis, après plusieurs passages, alors ...
    ... que Marie Charlotte est en attente, le souffle court, il enserre chaque sein avec douceur mais fermeté et, ajuste un mouvement de pression tout en les étirant. Comme ses paumes sont huileuse, il n'y a pas une pression constante sur un endroit, mais plutôt un long massage vigoureux. Et Max réitère plusieurs fois sa manœuvre! La grande a le souffle erratique.
    
    Elle n'arrive pas vraiment à traiter son état d'esprit. Perturbée, troublée. Elle a la désagréable impression d'être une chèvre que son monstre de beau-frère est en train de traire, un animal docile aux mamelles engorgées, heureuse qu'on lui extirpe le lait. Cependant si l'acte est rabaissant, humiliant, elle oscille entre honte et plaisir. Mais c'est malgré tout la luxure qui l'emporte. Elle n'est plus en possession de son libre arbitre d'autant qu'à chaque passage ses bouts son savamment étirés, excités. Elle est sous emprise.
    
    Et elle n'est pas la seule. Les formes voluptueuses, la douceur de la peau, les bruits réceptifs, ne font qu'accentuer le désir de Max. Cette garce le rend fou. Il doit la posséder entièrement, totalement, la prendre telle une bête, la baiser comme un forcené.
    
    Il s'allonge alors sur elle pour aller chercher sa main, et lui place sur son abricot. Elle ne résiste pas. Marie Charlotte sait ce qu'il lui faut. Il n'y a plus de faux fuyant, il n'y a qu'un besoin primal à satisfaire.
    
    Ensuite, doucement il la manipule afin qu'elle se positionne comme il le désire. Toujours en levrette, sur ses ...
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