1. Périple en camping-car 6 : Rencontre sauvage à Cancale


    Datte: 20/12/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... pénètre ma voisine d’un soir, poilue sèche et musclée.
    
    - « Salaud ! Tu me la mise dans le cul !
    
    - Pardonne-moi, ce n’est pas voulu, mais, c’est rentré tout seul.
    
    - Ne bouge pas. J’aime ! Quand je t’ai senti là, je n’ai pas hésité. Maintenant, je vais te branler avec mon cul. Tu peux donner de petits coups de temps en temps si tu veux. Tu vas voir, ça va durer longtemps, mais je te préviens, je risque de mouiller ton lit.
    
    - Ne t’inquiète pas, il est habitué et bien protégé.
    
    - Ah mon salaud ! Je ne suis pas la première !
    
    - Ni la première, ni la dernière j’espère, ni le premier.
    
    - Ah parce que…
    
    - Oui, j’aime aussi les hommes. Les jeunes bien montés ou les vieux nounours à petite bite.
    
    - C’est pour ça que tu aimes mes poils.
    
    - Peut-être aussi, même si c’est différent. Mais c’est vrai qu’avec ton corps musclé et tes poils, tu rappelles un homme.
    
    - Eh bien profite ! Puisque tu as un homme dans les bras, encule-le bien profond mon petit pédé ! »
    
    Notre coït va durer très longtemps, avec des périodes d’endormissement ou je reste planté et bien serré dans le cul qui me « pompe » avec ses muscles puissants. Je crois que cela reste le plus long coït de ma vie. Cela a duré ainsi plusieurs heures pendant lesquelles nous sommes restés unis ainsi.
    
    Aurélie a jouit deux ou trois fois au moins. Quand à moi, je me suis lâché en elle sans me désunir, ma queue « prisonnière » dans son cul. Nous avons fini par nous endormir, je ne sais quand. C’est un bruit ...
    ... de moteur autour des véhicules qui m’a réveillé et en bougeant, j’ai réveillé ma compagne de lit.
    
    C’était un motard qui passait par là. Le soleil est levé. Nous ne sommes plus accouplés, mais Aurélie est restée pour une fois dans un lit occupé par un autre.
    
    Je me lève doucement et je prépare le petit déjeuner. Aurélie comme moi, reste nue. Au matin comme ça, ses poils sont encore plus érotiques. La coquine se rend vite compte de mon érection, peut-être même avant que je n’en sois conscient. Consciente elle, du pouvoir de sa pilosité, elle lève ses bras, exposant ses aisselles velues et son « tablier de sapeur » une pelouse noire qui tranche sur sa peau.
    
    Alors comme hier, je tombe à genoux entre ses cuisses pour lécher cette forêt de poils odorants.
    
    - « Tu vas avoir une surprise si tu continues. J’ai envie de faire pipi !
    
    - Ne te gêne pas, j’adore !
    
    - On va dehors alors, parce que je vais tout inonder ! »
    
    Sans se soucier de savoir si quelqu’un peut nous voir, nous sortons sous l’auvent. Aurélie reprend la pose et à genoux dans l’herbe je m’apprête à recevoir ma « douche dorée ». Et la douche est abondante ! De la tête aux pieds, je suis couvert de son urine, j’en recueille dans ma bouche et en avale aussi. C’est énorme ! Nous sommes dans notre délire et quand je me relève pour pisser à mon tour, Aurélie s’agenouille et me demande de l’arroser en pissant.
    
    La vraie douche est alors nécessaire, voire indispensable et le nettoyage du parquet l’est autant. ...
«1...3456»