Périple en camping-car 6 : Rencontre sauvage à Cancale
Datte: 20/12/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... de son ventre, avec une toison noire qui remonte haut et qui couvre toute la surface, comme le ferait une culotte. Et quelle épaisseur ! Un vrai matelas de poils !
- « Ça vous plaît ? » Je ne réponds pas et je me contente d’ouvrir mon pantalon, de le baisser avec le shorty et d’exhiber mon érection qui est au maximum. « Je crois que oui ! » dit-elle en riant.
La femme est toute en muscles. Plutôt maigre, ce qui ne m’attire pas vraiment chez une femme d’habitude, mais sa musculature de bodybuildeuse, donne un effet magnifique, rehaussé par ses longs poils noirs.
- «Alors ?
- Si j’osais…
- Osez ! Osez mon ami !
- Je viendrais à genoux, perdre mon visage dans cette forêt luxuriante qui embaume sûrement !
- Faites donc ! »
Je me débarrasse en un tournemain de mes habits que je jette derrière moi n’importe comment et je me précipite entre les jambes de la femme. Elle les a écartées et s’est cambrée, les mains derrière la tête, sûre maintenant de l’effet produit par sa pilosité.
Je me gave longuement de ses senteurs, de sa mouille mêlée à sa toison. J’ai envie de frotter mon corps à son corps poilu. C’est vrai que j’aime aussi les hommes velus et son corps musclé n’est pas sans rappeler celui d’un homme. J’ai une envie bestiale de cette femme. J’ai envie de la prendre là, par terre, sur la terre.
- « Je dois aller chercher une capote dedans…
- J’en ai dans la poche de ma jupe. Quand je t’ai vu en arrivant, j’ai eu envie de toi. Il me restait à ...
... savoir si mes poils ne t’effraieraient pas.
- Ils ne m’effraient pas, ils m’affolent ! »
La capote récupérée et enfilée, je me vautre sur la femme qui s’est couchée dans l’herbe. Ça sent le sexe, la terre, l’iode, j’ai l’impression de n’avoir jamais bandé aussi fort. J’ai une envie de rut et la femelle n’est pas en reste. On se moque l’un comme l’autre de savoir si quelqu’un peut nous surprendre. La nuit est tombée. Malgré la fraîcheur, nous n’avons pas froid. Nous roulons l’un sur l’autre. La terre colle à nos peaux. Notre coït est sauvage. Tel l’homme des cavernes et sa femelle, nous baisons comme des fous.
Mon chibre est tendu au maximum, mais je n’ai pas besoin de me retenir pour ne pas éjaculer. Comme je labourerais la terre, je laboure la femme sauvagement. Elle relève ses jambes et je frotte mon visage à ses poils.Je la retourne en levrette. Son dos est couvert de terre, mais peu importe.
Elle feule, en redemande.
- « Oui salaud ! Baise-moi comme une chienne ! Prend mon cul de salope ! Putain ce pied ! C’est énorme ! Ne t’arrête pas ! C’est trop bon !
- Oui, salope ! Tu es une pute ! Donne-moi ton cul plein de poils. Tu vas pisser ton jus de salope par terre. Tu vas ensemencer l’herbe ! »
D’un coup, la femme relève la tête et pousse un hurlement de bête dans la nuit. Alors, agrippé à ses hanches, enfoncé en elle, je crie mon plaisir et je décharge au fond de sa matrice.
Le retour sur terre est long. Nous sommes épuisés par l’intensité de notre coït. ...