Des époux s'éclatent (2/2)
Datte: 20/12/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... ôtant son string, fit passer sa robe par-dessus sa tête et apparut seins nus, s'agenouilla à côté de Gérard et l'emboucha. Sa pipe frénétique révéla que l'appétit du mâle avait rejoint celui de la femelle. Ses mains un peu terreuses l'astiquaient avec conviction tout en suçant le gland. Il lui saisit une jambe et la poussa vers un 69, elle dessus. Il imagina la scène si quelqu'un franchissait la porte du jardin à l'improviste. Ils auraient bonne mine ! Mais c'était cette situation qui la rendait excitante. Ils baisaient. Magali se détacha de sa bouche et s'en vint s'empaler sur la tige dressée vers le ciel. Moment délicieux que celui où son vagin surchauffé rencontra le pénis roide pour une visite en profondeur et, pour Gérard, outre le bien-être provoqué par le doux fourreau, le spectacle stimulant d'un petit cul virevoltant sur l'axe de chair, témoignage vivant de l'adhésion totale de son épouse à cette baise non programmée. Il l'entendit proférer les sons traditionnels quand elle jouissait, sorte de miaulement de chatte en chaleur. Elle baisait. C'était pour lui un enchantement permanent de constater qu'après trente ans de mariage, Magali aimait toujours autant la bite, et la sienne en particulier. Elle l'aimait tellement qu'il n'avait jamais été tenté d'aller voir ailleurs et il supposait qu'il en était de même pour son épouse, bien qu'elle n'avait jamais manqué de sollicitations. Avec un brin de perversité, elle laissait planer le doute sur d'éventuelles escapades, ...
... pour le maintenir en appétit, supposait-il. Mais il se demandait s'il avait toujours été à la hauteur d'une telle sensualité. Magali aimait trop le cul pour se contenter de sa queue lors de leurs premières années de mariage.
Mais maintenant, elle n'était plus en âge de courir le guilledou. Sa bite lui suffisait, pensait-il. Quand elle se retourna pour le chevaucher encore, posée sur ses pieds pour allonger la pénétration et faire claquer leurs peaux nues, Gérard l'observa concentrée sur son plaisir, rayonnante, toutes dents dehors, pointes de seins érigées, nombril mouvant, chignon défait, miauleuse. Elle baisait. Il le lui dit et elle l'approuva d'un signe de tête. Elle le remercierait plus tard de l'avoir un peu forcée à abandonner son jardinage et permis de rester femelle. Quand elle fut bien ramonée, elle se détacha encore, respira profondément, lui sourit, l'embrassa, tapota sa queue pour en vérifier la rigidité :- Tu as encore envie de moi, hein, gros cochon ?
- C'est moi qui vais faire le boulot maintenant. Cela t'excite de faire ça dehors ?
- Pas autant que toi, gros cochon. Tu me fais faire de ces trucs...
- Ah ah ah ! Comme si je te forçais la main, petite cochonne que tu es !
- Et si tu me baisais au lieu de parler ?
- Tu veux que je te prenne pas le cul ?
- Non, pas cette fois. J'ai envie de te voir jouir. Allez, défonce-moi.
Et elle s'allongea, cuisses ouvertes, coudes au sol, seins dressés. Mains posées de chaque côté de sa tête jetée en ...