1. Des époux s'éclatent (2/2)


    Datte: 20/12/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    GERARD ET MAGALIQuand Gérard rentra du travail, il trouva son épouse Magali en train de jardiner. Il la trouva jolie avec ses cheveux rassemblés en chignon, sa robe légère découvrant ses jambes et moulant son petit cul alerte, ses mouvements gracieux quand elle se penchait en avant, s'accroupissait et se relevait au gré de ses tailles et ses ratissages. Après trente ans de mariage, il la trouvait toujours aussi séduisante. Il eut soudain envie de la baiser. Mais le moment était-il vraiment approprié ? Quand Magali jardinait, fallait pas l'embêter ! Il s'approcha néanmoins d'elle, l'embrassa, la regarda quelques minutes et tenta une caresse sur les fesses, aussitôt réprimée par une tape sur la main, plutôt gentille mais ferme. Il insista, osa glisser sa main sous la robe et reçut une sévère fin de non recevoir.
    
    - Qu'est-ce que tu fais ? Tu vois bien que je suis occupée. Je dois absolument faire le ménage dans mon jardin, sinon ça va être un vrai fouillis. Laisse-moi tranquille.
    
    Confus, il se retira, constatant néanmoins qu'elle l'observait du coin de l'oeil tout en taillant ses rosiers.
    
    Alors, une inspiration lui vint. Il faisait encore chaud. La piscine voisine du jardin était tentante. Il se mit entièrement nu et plongea.
    
    - Elle est bonne ? demanda Magali tout en poursuivant son jardinage.
    
    - Un peu fraiche mais ça va. Tu viens ?
    
    - Non, pas le temps.
    
    Décidément, ce n'était pas son jour. Et pourtant, il avait vraiment envie de se la faire, son épouse. Il ...
    ... sortit de l'eau et au lieu d'étendre sa serviette au bord de la piscine, il la plaça tout à côté de Magali, en train de biner. Allongé, il commença à se branler en la regardant.
    
    - Mais qu'est-ce qui te prend ? Fiche-moi le camp d'ici ! dit-elle à son mari, goguenard. Qui continua à s'astiquer. Son pénis avait pris un volume conséquent. La vision des cuisses de Magali et même un peu plus quand elle se pencha en avant, découvrant un string, le fit allonger d'un bon centimètre. Elle le regarda d'un air navré.
    
    - Mon pauvre garçon, tu me fais pitié.
    
    N'empêche qu'il avait capté dans son regard bien autre chose. Elle lorgnait maintenant sur son pénis tout en s'affairant à ses fleurs. Il sentait qu'il tenait le bon bout mais qu'il devait accentuer la pression.
    
    - J'ai envie de te baiser. Je vais te régaler.
    
    Magali ne répondit rien, cette fois. Son regard parcourut la propriété, comme si elle vérifiait le voisinage. La maison était tranquille. Pas de voisins à l'horizon.
    
    - Tu es vraiment un gros cochon. Tu ne peux pas attendre ce soir ? finit-elle par dire.
    
    - Je veux te baiser là, maintenant, tout de suite. Et je sais que tu en as envie. Je vais te défoncer. Tu mouilles, avoue.
    
    Il tendit la main vers son mollet tout proche et remonta lentement sans rencontrer de résistance. Elle était penchée en avant et la raie de ses fesses le narguait. Il y mit la main et la vit frissonner.
    
    - Fous-toi à poil ! ordonna-t-il.
    
    Alors, Magali capitula. Elle se tortilla en ...
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