Vieux Pervers Dégueulasses
Datte: 17/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byscribouillard, Source: Literotica
... voulez! Ma vie vous appartient, puisque vous m'avez sauvée.
Elle a ôté le nœud coulant de son cou avant de descendre de sa chaise. Nous nous sommes embrassés tous trois à perdre haleine. Thérèse pleurait à chaudes larmes.
Judiciairement, tout s'est passé comme prévu : un non-lieu a été prononcé pour Thérèse. C'est ainsi qu'elle est devenue notre esclave sexuelle, pour toujours. Dans son cabinet, Karine lui a tatoué sur l'épaule le signe selon lequel elle nous appartenait. Je lui ai posé, ajusté exactement autour de cou, son collier doré de servitude qu'il était impossible de retirer. Elle est venue habiter chez nous et devait rester nue en permanence, sauf lors de rares sorties. Elle mangeait comme un animal, à quatre pattes, dans une mangeoire de chien -- mais c'était des repas plus copieux et équilibrés que lorsqu'elle vivait seule et dans la misère. Elle ne se lavait pas toute seule : nous la savonnions nous-mêmes dans la baignoire, chaque semaine. Durant la journée, lorsque nous travaillions, elle faisait le ménage et préparait les repas. Lorsque nous rentrions, elle devait se tenir à genoux et bécoter les pieds de ses maîtresse et maître. Tout devait être impeccable, sinon elle était impitoyablement sanctionnée.
Souvent, elle entrait dans notre lit conjugal, où elle participait à nos ébats.
Cependant, nous respections sa virginité, préférant pour elle la pénétration anale. Karine aimait la sodomiser avec son gode-ceinture, pendant que de mon côté, j'enculais ...
... ma douce épouse. Il y avait d'infinies combinaisons dans ces figures à trois. Thérèse ne disait jamais non. Elle savait qu'elle pouvait dire non, mais elle n'osait pas, éperdue de reconnaissance après ce que nous avions fait pour elle. Progressivement, elle prenait goût à notre sexualité débridée, adoptait des poses lascives et suppliait la caresse.
Lorsque nous avions des invités, ceux-ci étaient au départ surpris de voir que le service était assuré par une vieille femme complètement nue. Ils trouvaient cela amusant, surtout lorsqu'ils découvraient qu'ils pouvaient lui demander n'importe quoi, comme de se masturber en public. Entre le dessert et le café, à mon claquement de doigts, Thérèse se positionnait à quatre pattes sous la table. Il suffisait de relever la jupe et d'abaisser la braguette : l'épouse et le mari recevaient chacun à leur tour, pour qu'il n'y ait pas de jaloux, qui son cunnilingus et qui sa fellation, avant de repartir satisfaits.
Il nous arrivait de la prêter à un couple d'amis, pour un week-end. Ainsi, Corinne et Didier, qui voulaient en profiter pour initier leur fils Quentin, dix-huit ans, dans leur maison de campagne en Lozère -- un lieu isolé où ils pouvaient se permettre des ébats en plein air. Ils nous ont ramené de bien affriolantes photos. Bénédicte s'occupait de Thérèse pendant que nous étions partis en vacances, pour remplir la gamelle et lui donner son bain hebdomadaire, et bien sûr jouer avec elle d'une manière coquine.
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En tant ...