Vieux Pervers Dégueulasses
Datte: 17/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byscribouillard, Source: Literotica
... tenait en équilibre sur les genoux de Karine, de sorte que les jambes battaient l'air. Sur les fesses bien rebondies, la fessée a été impitoyable et sonore : les claques sont tombées comme les douze coups de minuit. À la fin, Thérèse a pleuré. Non qu'elle eût physiquement très mal -- Karine savait doser la force de ses bras et j'avais déjà souvent pratiqué cela avec elle, depuis le début de notre relation amoureuse -- mais l'humiliation de la personne soumise restait le maitre mot de ce jeu pervers. Utiliser l'infériorité financière d'une femme pour arriver à ce réjouissant résultat est, vous en conviendrez chers lecteurs, déjà une belle dégueulasserie. Mais vous n'avez encore rien vu.
-- Maintenant, tu vas me suivre jusqu'à mon cabinet.
-- Je peux remettre ma robe?
-- Certainement pas. Je te la rendrai à l'issue de l'examen. Si tu es sage. Sinon, tu devras rentrer chez toi complètement nue. Avec la faune que l'on voit la nuit dans notre quartier, le voyage risque d'être intéressant.
Ce qui ennuyait notre invitée, c'était que pour descendre au cabinet médical, il fallait emprunter l'escalier de l'immeuble où nous risquions de croiser des gens. Cela n'a pas manqué : nous avons rencontré Bénédicte, notre jeune voisine de palier qui rentrait des courses, les bras chargés de paquets. Après avoir claqué deux bises chacun, nous l'avons aidée à porter ses emplettes jusqu'à la porte de son appartement. Nous semblions ignorer que Thérèse était nue et qu'elle tentait ...
... désespérément de cacher ses parties intimes avec ses mains, ce que Karine lui empêchait de faire en lui tenant les bras par-derrière. Nous savions que Bénédicte était lesbienne, avec une attirance particulière pour les femmes plus âgées. Puis nous avons redescendu les marches, sans plus croiser quiconque.
-- La prochaine fois, tu te mettras à genoux devant elle et tu lui baiseras les pieds à travers les sandales, sinon je t'apprendrai la politesse, non pas avec une fessée comme tout à l'heure, mais à coups de fouet. Tu as bien compris?
-- Oui, Karine.
Ma femme l'a aussitôt giflée.
-- Ne m'appelle plus Karine. Nous n'avons pas gardé les cochons ensemble. Tu dois me vouvoyer, baisser les yeux en me parlant, seulement si on t'interroge, et m'appeler Maîtresse, c'est compris?
-- Oui, maîtresse.
-- C'est bien. Allonge-toi sur la table d'examen, et détends-toi.
Thérèse a obtempéré. Karine a enfilé sa blouse blanche professionnelle, puis lui a demandé de souffler dans l'embout d'un éthylomètre, un appareil similaire à celui qu'utilisent les gendarmes à l'issue d'un alcootest positif. Mon épouse a poussé un sifflement à la lecture du résultat.
-- Plus de quatre grammes d'alcool par litre de sang. Beaucoup de gens seraient par terre avec ça.
-- Je ne peux plus m'empêcher de boire, maîtresse...
-- Tais-toi! Je ne t'ai pas dit de te taire, à moins qu'on t'interroge? Si tu continues à boire comme tu le fais, l'alcool va te tuer.
Karine l'a attachée sur la table ...