1. Vieux Pervers Dégueulasses


    Datte: 17/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byscribouillard, Source: Literotica

    ... pratiquée, j'ai découvert que la fille avait beaucoup souffert lors de son suicide, car la ficelle était courte et fine, et la mort par asphyxie longue à venir. Elle était magnifique sur la table d'examen. Comme j'étais seule, Hubert me faisant une confiance absolue, j'en ai profité... Dieu qu'elle était belle et que c'était bon!
    
    Nous avons chargé Thérèse de rhabiller le prêtre, puis de l'allonger sur le lit de chambre d'amis, afin de le présenter à ses proches d'une manière un peu plus décente, en prétendant qu'il était mort dans son sommeil de sieste -- mais il bandait toujours, de quel rêve érotique? Lors de l'enterrement, nous avons découvert qu'il avait de nombreux enfants naturels, conçus dans un confessionnal et nés de paroissiennes ingénues qui ignoraient tout de la contraception. Heureusement, il disposait d'une fortune personnelle lui permettant d'entretenir cette étrange famille sans laisser personne dans le besoin. Le discours prononcé par l'évêque au cours de la messe d'obsèques était un modèle d'hypocrisie, présentant le personnage comme un prélat exemplaire dans le respect de ses vœux d'obéissance et de pauvreté et surtout de chasteté.
    
    Thérèse était une esclave sexuelle douce et docile, grâce à sa tendance masochiste qu'exacerbait son sentiment de culpabilité lié à l'accident qui avait coûté la vie à un enfant, par sa faute. Karine et moi ne nous gênions pas pour lui rappeler pourquoi elle en était là. Notre servante voulait expier par des châtiments ...
    ... corporels qu'elle nous suppliait de lui infliger, toujours plus sévères. Elle aimait souffrir ; elle s'enivrait de douleur à défaut d'alcool. Tout était bon pour elle : la fessée d'abord, le bondage avec des liens bien serrés, le bâillonnement, les suspensions par les pieds, le shibari -- Karine savait réaliser de magnifiques figures avec la corde et le corps de notre soumise. Et aussi la cire brûlante des bougies qui tombait sur ses zones sensibles, et surtout le fouet.
    
    Elle adorait surtout être flagellée, et lorsque nous avions décidé de procéder, elle nous apportait la lanière de cuir entre ses dents, en se déplaçant à quatre pattes, la croupe bien relevée, comme nous lui avions appris. Ses yeux implorants nous suppliaient de la châtier sans faiblesse. Elle commençait par sucer le manche, qui avait une forme phallique. Puis elle se laissait suspendre au plafond par les poignets, docilement, et même avec complaisance. Une fois la séance accomplie, elle se confondait en remerciements, en baisant à genoux les pieds de son bourreau, toujours bien cambrée pour tourner ses fesses vers le haut. C'était alors de moment de la sodomiser, moi avec mon membre naturel, ou bien Karine avec son gode-ceinture. Il fallait faire attention et ne pas abuser de genre de persécution qui, ô combien excitant, laissait des marques sur la peau et risquait de dégrader l'état physique de notre esclave chérie.
    
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    La dégueulasserie est un art délicat que Karine et moi entendions pousser jusqu'au ...
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