Vieux Pervers Dégueulasses
Datte: 17/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byscribouillard, Source: Literotica
... heures à regarder ensemble des films pornographiques tout en nous livrant frénétiquement à l'onanisme. Ce faisant, les dames avaient à disposition toute une collection de jouets coquins, du petit godemiché au grand sybian en passant par la pompe à clitoris et toutes sortes de gadgets bizarres. Thérèse a appris à tirer profit de tout notre matériel. Notre but était qu'elle développe rapidement une addiction à la masturbation : ce fut rapidement chose faite. Progressivement, en commençant par un érotisme assez doux et consensuel, nous lui montrions des images de plus en plus obscènes, jusqu'à des films mêlant horreur sanglante et sexe brutal, zoophilie, coprophilie, émétophilie, etc. Karine et moi étions déjà blasés par tout ce stupre abject et au final risible, mais Thérèse se laissait fasciner par ces images qui l'excitaient et la faisaient frissonner : elle en redemandait. Elle passait des nuits entières à les visionner, vibromasseur en main et gode vibrant dans l'anus. Grâce à ce lavage de cerveau en vidéo, nous étions sur le point de réussir à en faire une truie presque aussi dégueulasse que nous.
Mais revenons à notre nouvel ami, le Père Xavier. Thérèse lui a raconté tout ce que nous venons d'évoquer. Il savait que j'avais positionné une caméra dans le confessionnal, et que, d'autre part, Thérèse était totalement consentante à tout ce qu'il voudrait lui proposer : elle était formatée pour cela. Le récit des activités lubriques a été long. Elle a elle-même soulevé la ...
... soutane et ôté le slip. Puis, comme un demi-siècle auparavant, elle a sucé Xavier en gorge profonde. Grâce à la formation intensive que nous lui avions prodiguée, elle maîtrisait à la perfection l'art de la fellation, sachant se servir de ses lèvres et s'aider de ses doigts pour chatouiller les bourses, tout en émettant avec la glotte le bruit caractéristique des profondeurs buccales, ralentissant la succion pour retarder l'explosion finale, afin que celle-ci fût inouïe. Le prêtre a joui dans la bouche, tellement fort que son vieux cœur fatigué a lâché. Nous avons entendu un dernier râle, puis plus rien. A-t-il fait exprès en s'abstenant de prendre ses médicaments pour le cœur, se sentant cerné de rumeurs, de regards en coin accusateurs, de silences entendus? Nous ne le saurons jamais. Avant qu'il meure, Thérèse lui a tout pardonné, pour elle et pour toutes celles qui sont entrées dans le confessionnal. Le prêtre savait qu'il pouvait partir en paix. Pour le coup, nous ne savions plus très bien qui était le prédateur et qui était la proie.
Son cadavre nu couché sur le plancher exposait à la fois une bite bien bandée, des mains avides qui tentaient d'agripper d'inaccessibles seins et un visage ravagé par le désir : l'Homme dans toute sa splendeur. En tant que médecin, Karine a constaté le décès et lui a fermé les yeux, très professionnellement. Elle s'est même assise sur le membre. Comme elle était vêtue d'une jupe qu'elle relevait d'une main, il lui a suffi d'écarter sa ...