"Le piège" (10) - Histoires de Sexe

"Le piège" (10)

... bites... elle suce très bien au fait ! Et elle s’est découvert une passion pour les chattes aussi !

— Bande d’enculés, vous êtes vraiment des pervers !

— Comme toi même mon chéri, me rétorqua ma femme avec un vilain regard.

— Bon, tu veux la voir baisée en direct live devant toi ? Allez-y, les gars, c’est à vous de lui faire du bien maintenant !

Et sans que je puisse faire quoi que ce soit, Alban et Ruiz soulevèrent ma femme nue, avec ses bas et son porte-jarretelles blancs, bien sales et tachés, et la firent allongée, dos sur la table.

Alors que Lucien lui tenait les deux mains, ses bras tirés vers l’arrière; Alban, sa bite monstrueuse sortie de son pantalon, attrapa ma femme par les cuisses, les lui souleva et posa ses pieds sur ses épaules, et l’enfourna directement. Ma femme eut une plainte rauque en sentant le gros engin pénétrer sa chatte, et commença à gémir, dès qu’il la baisa brutalement.

Pas en reste, le vieux auguste lui empoignait un sein qu’il malmenait de ses doigts sales; tandis que Simone nue, elle aussi, monta sur la table, et se mit à genoux à côté de son amie. Tandis que le gros Alban malmenait le corps de mon épouse, elle glissait un doigt entre le mont de Vénus et l’énorme queue, qui s’était emparée d’elle, et elle agaçait le clitoris, son autre main sur le visage de ma femme, dont deux doigts s’enfonçaient dans sa bouche. Cécile gémissait sous les coups de boutoir, et sa masturbation et elle suçait goulûment les doigts de la ...

... femme.

Le spectacle était répugnant de lubricité, mais me provoquait une excitation malsaine !

Voir sa femme, être le jouet sexuel de 4 hommes dont un vieux et d’une femme, avait quelque chose d’immonde, mais aussi de terriblement excitant. Je décidai de jouer mon va-tout, et de tenter un truc qui pourrait peut-être bien marcher !

— Tiens, tu me fais goûter ta bibine, là ?

Ruiz qui regardait ma femme se faire salement baiser me tendit la bouteille. J’y goûtai précautionneusement !

— Putain, mais c’est du feu, ce truc !

— Fabrication maison !

— C’est toi qui fais ça ?

— Enfin, plutôt Alban, mais il te répondra pas, il est occupé là, dit-il avec un gros rire.

— Tu pourrais faire boire ma femme ?

— Ah oui bonne idée ! Allez, Simone, verse-lui-en dans le gosier.

Cécile reçut le liquide incendiaire, toussa et devint encore plus réceptive aux coups de boutoir. Elle criait sa jouissance. Alban enfin, se libéra avec le grognement d’un grizzly en rut. Comme personne ne s’occupait de ma femme, je dis aux hommes :

— Bah alors, vous la baisez pas tous, à la suite ?

— Putain, très bonne idée, cracha le père Auguste en baissant son pantalon, et en exhibant un fort bel engin pour ses 76 ans.

— Alors Alban, c’est toi qui fais ce nectar ? Mais où ?

— J’ai un alambic dans la grange du petit bois. On ramasse des pommes... enfin, on emprunte, on va dire dans la pommeraie du père Albert et boum, on fait du 55 degrés... net d’impôts et de taxes !

— Ah, ça vaut ...