"Le piège" (10) - Histoires de Sexe

"Le piège" (10)

Dans la voiture avec Emma, ma belle-sœur, à mes côtés, nous allions à la ferme du père Auguste, pour y retrouver ma salope de femme en pleine hystérie sexuelle.

Nous avions fait l’amour Emma et moi, et je devais avouer que cela m’avait en quelque sorte revigoré... elle s’était montrée très réceptive à mes caresses et à mon seul assaut, qui avait été néanmoins délicieux. Nous sentions que nous avions d’autres choses à découvrir ensemble, mais le moment n’était pas aux prémices de notre sexualité inassouvie. Nous nous étions dépêchés, car il nous fallait arrêter la débauche de Cécile, d’une façon ou d’une autre.

Je me sentis néanmoins heureux, car Emma m’avait apporté la clé de la solution : mes beaux-parents. En un sens, j’avais frappé à la bonne porte en m’adressant à elle. Notre union, quoique relativement courte, avait été très satisfaisante, avec en arrière-fond dans nos pensées, l’image de Cécile, en train d’explorer de nouveaux pans de sa sexualité perverse et débridée !

Qu’allions-nous donc trouver dans cette ferme ? C’était la question qui résonnait dans nos esprits, lorsque nous arrivâmes chez le père Auguste. J’avais déposé ma belle-sœur à 100 mètres avant d’y arriver, car je voulais qu’elle soit la témoin de la débauche de sa sœur, et qu’elle prévienne les secours le cas échéant, si les choses tournaient mal avec les trois hommes !

Il n’y avait personne dans la cour de la ferme, hormis deux voitures, celle des trois abrutis et une autre que je ne ...

... connaissais pas...

Je m’approchai de l’habitation principale et entendis des éclats de voix, des rires féminins et des gémissements.

Prenant mon courage à deux mains, je rentrai dans la salle à manger très rustique. Autour d’une vieille table étaient installés les trois abrutis, et le père Auguste qui avait une femme nue sur les genoux : Simone !

— Tiens, voilà notre mari cocu ! Alors mon pote, tu viens voir les exploits zoophiles de ta femme ? dit un Ruiz très enjoué, et légèrement grisé par l’alcool frelaté qu’il était en train de boire. Il y avait effectivement sur la table 3 bouteilles de ce calvados, distillé clandestinement par la petite troupe... cela me donna instantanément une idée.

Tiens, mais c’est ma grande amie Simone ! Alors, c’est fini les bains de minuit ? Tu t’es bien foutue de ma gueule quand même !

— Personne t’a forcé à venir me baiser, minauda-t-elle.

— Bon, où est ma femme ? Qu’est-ce que vous en avez fait ? Bande de tordus !

— Tiens oui ! Où est-elle ta tendre épouse ? explosa de rire le gros Alban.

— Cécile chérie ! Remonte ! Ton cher et tendre est venu admirer tes exploits !

Alors, je vis ma femme émerger du dessous de la table, des traînées de sperme le long de son menton, et la bouche enduite de cyprine.

— Tu fais chier Ruiz, dit une Simone hilare, elle était en train de s’occuper de mon minou !

— Ce n’est que partie remise ma chérie. Alors, tu vois, ta femme est un peu notre chienne, sous la table, qui s’occupe de nos ...