Aux pieds de Maryse.
Datte: 05/12/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... entouré de quelques menues taches de rousseur. Ils accrochent les miens.
- Pas la peine de me faire croire que tu es timide, maintenant ! Tu aies du genre très virtuose !
Je ne trouve rien à redire à ce constat, d’autant qu’elle vient d’attraper mes mains et de les positionner sur ses hanches, après quoi elle s’attaque aux boutons de ma chemise. Je me la laisse m’entraîner avec plaisir, sur la pente savonneuse de la débauche. Elle me regarde plus intensément, ironique et provocante.
- Martine m’a tout avouer, ajoute-t-elle en achevant de déboutonner ma chemise.
-Ah oui ! Et je peux savoir quoi ? Fais-je en ne pouvant résister de poser mon regard sur son ventre.
-Je peux savoir ce que tu regardes là ? Lâche-t-elle, loin d’être mécontente.
-J’imagine ta culotte.
-Mais tu aies incorrigible ! Tu aimes les culottes de femmes ?
-Je les aime pas, je les adore, surtout quand elles sentent.
-T’aime le parfum de la femme, alors.
-Oui !
Là, elle fait descendre sa culotte aux chevilles. Elle se penche pour la ramasser puis me la tend.
-Je t’autorise à la renifler en ma présence.
Je plaque le tissu roulé en boule contre mes narines. Son parfum poivré se mêle à ses odeurs de femme, les unes salées, les autres plutôt âcres.
-Je l’ai portée toute la nuit, si tu veux savoir.
Je la respire bruyamment pour qu’elle sache bien que j’aime son odeur.
- Tu veux voir ma chatte ? Si tu veux savoir, je mouille comme une petite cochonne, là. Ça ne te ...
... fait pas bandé de savoir cela ?
Sans attendre ma réponse, elle retrousse alors sa jupe, pour m’exhiber son sexe. Maryse remarque mon hésitation et s’en amuse.
- Tu sais, il ne brûle pas, répond-elle. Et il aime bien quand on la touche.
Je suis en extase devant ce qu’elle me dévoile. Elle se rase, Maryse, gardant juste un triangle de poils de quelques centimètres. Ses lèvres de sexe, bien sorties, leur tracé déchiqueté, leur épaisseur. Un filet de mouille vient se perdre le long de son périnée. Sous mes yeux le clitoris se dégage de son capuchon et s’allonge. Ça me fascine, comme toujours devant un sexe de femme.
Contre mon gland gorgé de sang, le coton du slip fait un contact électrique. À la fois irritant et agréable.
-Tu attends quoi là ? S’impatiente-t-elle.
Je pose alors, ma main sur son genou chaud. Très lentement, très progressivement, ma main parcoure un ou deux centimètres de plus. Mes doigts se glissent très lentement, millimètre par millimètre vers le haut. Ma main sur sa cuisse bouge inlassablement. Jusqu’au moment où mon doigt atteint la toison. Puis soudain, je sens qu’elle ouvre ses jambes, et s’offre à ma main fureteuse.
- C’est bon de se faire caresser la foufoune !
- La quoi ?
- Eh bien la foufoune, la chatte, c’est comme ça que ça s’appelle aussi, tu ne le sais pas ?
Je l’entends respirer plus fort, se tendre. Sa poitrine se soulève. Sa respiration s’accélère. Bon sang, me dis-je, la coquine, elle en a envie de moi. je rêve ! Sans ...