1. Aux pieds de Maryse.


    Datte: 05/12/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    J’ai attendus patiemment que la nuit tombe en cette journée de décembre pour rejoindre Bernadette dans son véhicule stationné sur le parking du square. Une femme mariée et mère de trois enfants, qui a organisé cette petite rencontre, juste pour avoir le loisir de jouir, en face de son bâtiment, un pied de nez à son quartier.
    
    Elle ne mit pas longtemps à succomber à ma caresse buccale. Suite à cela, je prends la direction de chez mes parents.
    
    J’ai la surprise en entrant, de m’apercevoir que mes parents recevez ce soir-là. La belle famille de ma sœur. Après les avoir salués je me rends dans ma chambre prendre mon peignoir, pour me rendre dans la salle de bains, prendre une douche. Mais avant, avec une grande prudence, je me charge d’un escarpin de Maryse, laissé devant l’entrée, que j’emmène avec moi dans la salle de bains. Ce n’est pas la première fois que je fais cela. Après mettre m’enivrer de son odeur, je lèche d’une langue bien à plat, la semelle de cuir, bien imprégner de sudation de son pied. Un vrai régal !
    
    Qu’est-ce que je donnerais pour pouvoir un jour, avoir le privilège de lécher le pied gainée de nylon blanc de Maryse, comme ce soir.
    
    Très vite, une énorme envie de foutre me submerge. Je cale pour cela, mon sexe bandé dans la cavité de cuir, moite de salive. En forçant un peu, je peux même me permettre de faire sortir mon gland du bout ouvert. Un apport supplémentaire pour un branlage fortuit. Un délicieux frisson parcoure mon ventre, alors que j’exerce ...
    ... un rythme à mon bassin. Et cela se prolonge jusqu’à la jouissance.
    
    Bien plus tard, et alors que je fouine en petite tenu dans ma chambre, Martine la fille de Maryse vient me rejoindre, de son propre grés. Ma verge tenue dans mon slip se dresse à sa vue, le prépuce est arrêté par l’élastique et mon gland violacé sort sous les yeux de Martine qui pousse un :
    
    -Oh !
    
    Décontenancé, je fais comme si rien n’était, et ferme mon peignoir. Puis je prends place sur le lit. Elle me rejoint peu après et s’asseoir près de moi. Quelques instants de silence, avant que le dialogue s’installe.
    
    -Dis Alain, c’est ce qu’on appelle le gland que j’ai vu tout à l’heure ?
    
    -Oui, Martine.
    
    -Tu sais, c’et la première fois que j’en vois un. Et j’aimerai bien en voir un peu plus. Enfin si tu veux bien !
    
    -Pardon ? Tu te rends compte de ce que tu dis là ?
    
    -Oh, Alain, je n’ai vu jusqu’à présent que j’ai vu dans les bouquins de culs de papa.
    
    Je me lève, enlève mon peignoir et baisse mon slip, faisant jaillir à l’horizontale ma verge tendue devant Martine qui s’est assise par terre devant le lit. Les yeux exhortés, elle dit :
    
    -Ton gland est caché !
    
    - C’est que mon prépuce qui est la peau qui le recouvre est très long. Pour voir mon gland, il faut me décalotter en faisant coulisser cette peau vers la racine de ma verge.
    
    -Comme ça ? Me dit-elle tout en prenant mon sexe entre deux doigts sous le bourrelet, et en tirant doucement.
    
    - Oui, et comment le trouves-tu ?
    
    -Qu’il est ...
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