Sophie - Histoires de Sexe

Sophie

... avoir une érection. Elle m’explique :

— C’est une caresse que tu peux faire sur les mamelons, mais aussi, comme le pratiquent les Asiatiques sur le bout des orteils. Et sur un clito, c’est… explosif.

Bien compris, je recommence. Je suce plus lentement et j’ai l’impression que son plaisir est beaucoup plus fort. Donc, j’insiste. Et elle me semble de plus en plus chaude.

— Anola, ici ce n’est pas très confortable ! Si nous allions dans ma chambre ?
— Je te suis…

Dans sa chambre, des meubles de style, qui appartenaient probablement à ses parents, et un lit trop grand pour une seule personne. Mais pour deux, cela va aller… Nous nous asseyons sur le lit.

Elle me caresse les cheveux, descend vers ma joue puis vers mon cou, approche ses lèvres et me suce le lobe de l’oreille ! C’est une nouvelle sensation que je ne connaissais pas, j’enlève immédiatement mes clips pour lui faciliter la tâche, et elle en profite goulûment. Au passage, pour mieux se rapprocher de moi, elle a empaumé un de mes seins, le caresse doucement et fait gonfler mon mamelon. J’adore les caresses à travers un fin soutien-gorge, j’ai l’impression que le tissu augmente mes sensations. Je lui rends la pareille, ma main a immédiatement trouvé une place sur sa poitrine nue et je sens ses tétons venir me saluer. Puis elle me déshabille habilement, et en profite pour me faire quelques caresses coquines. Quand nous sommes nues, elle me propose :

— J’ai une idée que nous allons essayer, si tu veux ...

... bien.
— Avec toi, tout ce que tu veux.
— Au fait, tu as été voir ma gynéco ?
— J’y vais la semaine prochaine
— Alors tu pourras lui dire que tu as perdu ta virginité avec moi. Si tu es toujours d’accord ?
— Ça fait mal ?

Elle éclate de rire :

— Pas vraiment, non ! Viens sur moi, mets ta queue entre mes jambes.

Son expression me fait penser à un chien malade, mais je m’exécute. La sensation de sa peau, si douce, me donne des frissons, des frissons de bien-être. Je suis bien. Mon pénis coulisse avec une grande facilité entre ses jambes, contre sa chatte et sans doute son clito : elle a mis de l’huile ou une crème sur son périnée. J’ai l’impression d’être dans un étui. Je rampe un peu pour atteindre ses lèvres, et nous nous embrassons fougueusement ; un baiser qui se prolonge, nos seins qui se taquinent, et qui me donnent de plus en plus de doux frissons. Elle m’invite :

— Bouge, fais comme si tu me baisais.
— Comment ? Vite ? Lentement ? Je ne sais pas !
— Comme tu le sens, ce qui te donne le plus de plaisir ! Ne te prends pas la tête, lâche-toi ! Si tu jouis, je jouirai aussi.

Je commence lentement. Surprise, à chaque « pénétration » elle me serre en contractant ses muscles. Elle me rend folle ! Elle a les yeux mi-clos, un petit sourire, comme si elle voulait me dire « Tu ne connaissais pas ? » Je vais un peu plus vite, elle soupire, ses yeux se ferment, elle se met à trembler, écarte brusquement ses cuisses et crie :

— Je n’en peux plus, prends-moi, je ...