La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1652)
Datte: 03/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Viens ici, sale clébard, vient prendre d’autres vitamines.
Le Majordome a baissé son pantalon et son slip. Je comprends tout de suite et voyant leurs yeux noirs. Je n'ose répliquer. Je m'approche de Monsieur Walter, et mains dans le dos je prends son sexe en bouche pour la deuxième fois de la journée.
- Tu vois, Marie cette salope ce matin m’a presque ignoré, et le voilà suçant ma bite. Un véritable videur de couilles !
- Oui et quand Monsieur le Marquis me le remettra entre mes mains, il va souffrir ce sale bâtard, répliqua Madame Marie avec un ton des plus pervers.
Monsieur Walter me baise maintenant littéralement ma bouche, il ressort sa grosse et longue queue aux veines saillantes.
- Ouvre mieux la gueule, le chien.
Et une fois que j’ai la bouche grande ouverte, Monsieur Walter et Madame Marie me lâchent deux gros mulards dans ma cavité buccale.
- Aller, maintenant remet-toi à sucer, la putain !
Je suce et je suce encore cette énorme bite en sentant la mienne se durcir et se comprimer dans sa cage. Je me sens tout excité d'être traité ainsi. Dix bonnes minutes après Monsieur Walter se vide les couilles au fond de ma gorge, tout en me maintenant fermement de ses mains derrière ma nuque. J'avale tout ce sperme et je nettoie méticuleusement la verge de Monsieur Walter. Puis d’un coup de pied posé sur mon épaule, il me repousse :
- Maintenant, va finir ta gamelle, le chien !
Je me remets à avaler cette pitance et alors que Monsieur Walter prend ...
... encore un café, son téléphone sonne.
- Oui Monsieur le Marquis … Bien sûr ! … Bien Monsieur le Marquis, comptez sur moi. (s’adressant à Marie : ) Monsieur le Marquis veut que cette merde soit prête à la saillie.
- Bien, je m'en occupe.
Madame Marie prend la laisse et tire dessus avec force et me traine dans un long couloir plus étroit que les autres jusqu’à une haute porte richement sculptée.
- Avance salope et je ne veux pas t’entendre, sinon tu auras à faire à ma cravache !
La saillie ? De quoi parle t ils ? Je n’ai pas le temps de réfléchir plus à ça quand la perverse cuisinière me fait alors entrer dans une immense salle de bain toute carrelée de carreaux blanc du plafond au sol, sur les quatre murs. Il y a au fond sur tout un pan mural, une succession de pommeaux de douche accrochés à même le mur côte à côte et espacé d’un mètre chacun et sans aucune séparation. Elle me jette alors sous une de ces douches sommaires. Mais au lieu d’actionner le pommeau, elle sort un long tuyau d’arrosage, genre lance à incendie et me lave à l'eau froide, voire glacée, à grands jets d’eau qui me font trembler de tout mon corps nu.
- Quoi ?, tu pensais pas que j’allais demander si l'eau de monsieur était assez chaude ?, espèce de bâtard.
Puis Madame Marie me frotte avec un gant de crin aux poils durs et qui fait de suite rougir ma peau, elle me tourne et me retourne sans ménagement et avec un sévère regard silencieux et empli de mépris. Elle me dit à me mettre à quatre ...