1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1652)


    Datte: 03/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1645) –
    
    Le Majordome referme la massive porte et part sans aucun autre mot… La porte claque et me voilà enfermé, esclave. Jamais je n'aurais imaginé, que toute ma vie aurait pu basculer si vite. J'ai faim, j'ai terriblement faim mais la fatigue aidant ainsi que le stress mélangé à un bien-être de ma nouvelle condition me plongent doucement dans un sommeil profond et réparateur. Je m'endors à même le sol, à même la paille, telle une bête. Oui je ne suis plus du tout un homme mais ce bien-être qui m'envahit me rappelle combien j'avais besoin de cela…. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais ce que je sais c’est qu’un coup de pied me réveille brusquement.
    
    - Debout, faignasse !
    
    Je ne sais plus où je suis, j'ai l'impression mélangée de me réveiller d'un sublime rêve ou d'un mauvais cauchemar mais pourtant je ressens une certaine joie de constater que c'est bien la réalité… La laisse est remise à mon collier et Monsieur Walter me tire à nouveau jusqu'aux cuisines via un dédale de couloirs des plus luxueux, feutrés et richement décorés. Je regarde à nouveau l’immense horloge qui trône à côté de la double-porte massive des cuisines, il est 18h15. J'entends fustiger la cuisinière, cette sadique femme me fait vraiment peur.
    
    - Tient voilà la pute ! Lèche-moi les pieds pour me remercier de te donner à bouffer, et donc avant que je daigne te donner ta pitance dans cette gamelle !
    
    Je ne me fais ...
    ... pas prier deux fois, j’ai trop faim. C’est en levrette prosternée, le cul bien relevé et mon visage à quelques centimètres de sa chaussure, que je sors ma langue et commence à lécher le dessus du soulier verni de Madame Marie.
    
    - Et applique-toi, une gamelle de nourriture, ça se mérite !, sale putain
    
    Je lèche parce que j’ai trop faim, mais aussi par peur de cette satanée femme. Elle me fait longuement lécher ses deux chaussures tout en n’arrêtant pas de m’insulter de mille appellations humiliantes et avant de me mettre, enfin, une gamelle sus mon nez, en me disant laconiquement :
    
    - Et mange tout, espèce de bâtard, m’ordonne-t-elle en me donnant une terrible fessée sur mon cul arrondi.
    
    Une gamelle avec des légumes dans une espèce de bouillie de morceaux de croûtes de pains détrempés. Je vois une sorte de petite crème blanchâtre déposée sur le dessus :
    
    - Ta bouillie est à la sauce spermée de tes congénères ! Ca te vitaminera, le chien !, me lance-t-elle
    
    Je comprends donc aisément que des esclaves soumis ont eu pour exigences de se vider les couilles sur cette infame bouillie. Mais j'ai tellement faim, que je plonge la tête dans cette gamelle et je mange cette pitance avec avidité. Je m'en mets partout en faisant un bruit d'animal, mais n'est-ce pas ce que je suis ? Une gamelle d'eau à côté. Alors que le Majordome boit un bon café assis au côté de cette sadique femme. Ils parlent tous les deux. Comme j’aimerai boire un bon café ! Monsieur Walter m'appelle :
    
    - ...
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