Matilda et Julien
Datte: 28/11/2023,
Catégories:
ff,
ffh,
groscul,
hépilé,
fépilée,
douche,
caresses,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
journal,
bisex,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... pourpre et semblait prêt à exploser. Matilda nous poussa vers la terrasse. La lumière était superbe, un peu jaune avec un soleil déclinant. J’avais rapidement deviné ses intentions, mais je ne fis rien pour m’y opposer. Ni Julien ni moi ne disions mot, nous nous laissions guider comme des acteurs passifs dans un rôle que nous n’avions pas vraiment choisi, mais que nous acceptions sans soumission ni résignation. Matilda nous guidait comme un metteur en scène. Elle me fit allonger sur un transat puis, tranquillement, elle plaça mes jambes de part et d’autre du transat afin de les ouvrir pour permettre à Julien de me pénétrer. J’avais en fait très envie d’être pénétrée, de sentir à nouveau un cylindre de chair ouvrir et progresser jusqu’au fond de mon vagin. Je pensai rapidement que j’avais bien fait de reprendre la pilule. Julien vint sur moi et Matilda le guida pour qu’il s’enfonce doucement dans moi. Il accéléra le rythme, je glissai une main sur mon pubis et stimulai mon clito comme je le faisais avec Alain. L’association de la pénétration et de la masturbation me procurait un plaisir délicieux. J’avais perdu l’habitude de sentir un liquide chaud et visqueux se rependre dans mon vagin. L’éjaculation de Julien me procura un nouvel orgasme. Avant de se retirer, il me couvrit de baisers tendres et me chuchota à l’oreille :
— Merci
Il se leva sans autre mot et fila vers la salle de bain, la queue encore à demi gonflée. Matilda nous avait regardés en se caressant. ...
... J’avais toujours les cuisses ouvertes, je sentais le sperme couler doucement vers la raie des fesses. Elle s’approcha, lapa légèrement quelques gouttes du jus et m’embrassa avant d’aller, elle aussi, sous la douche.
Je restai inerte, c’était le vrai mot. Je n’entendais plus rien. Ils revinrent, habillés, pour me dire qu’ils partaient. Matilda me dit qu’elle allait faire le chemin à pied le long de la Seine, ce n’était pas très long et excellent pour ses muscles.
Le soleil était sur le point de disparaître. Je me trouvai dans une sorte d’état second. Je me rendis compte que je pensais à plein de choses, mais surtout pas à ce qui venait de se passer. J’étais dans une sorte de déni qui me permettait d’occulter l’évidence. Je fus ramenée à cette réalité par mon portable qui sonnait. Je n’avais jamais pu faire entrer « smartphone » dans mon vocabulaire. J’avais décroché sans voir l’interlocuteur à cause des reflets sur l’écran.
— Coucou, c’est Élodie, tu vas bien ?
Je restai sans voix au sens strict du terme.
— Allô, allô ! Tu m’entends ?
Je finis par me contrôler.
— Oui, ça va, et toi ?
— Je sors de la piscine, pas celle de Matilda, mais, une petite, chez des amis du côté de Versailles. Comme c’est sur ma route pour rentrer, je me disais que l’on pourrait dîner ensemble comme deux célibataires pendant les vacances. Qu’en penses-tu ?
Je n’en pensais tellement rien que je répondis « oui », mais à contrecœur.
— Parfait je suis là dans vingt minutes et elle ...