Matilda et Julien
Datte: 28/11/2023,
Catégories:
ff,
ffh,
groscul,
hépilé,
fépilée,
douche,
caresses,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
journal,
bisex,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... oui, persuadée qu’aucune femme ne peut faire fi de l’image qu’elle peut donner de son physique. J’espérais aussi que Matilda ne racontait pas nos ébats de l’après-midi. Cette péripétie m’avait donné chaud, je transpirais malgré la légèreté du tissu, mais je ne me voyais pas revenir vers eux en tenue d’Ève.
J’allai vers la terrasse pour leur proposer une boisson. Ils étaient tous les deux allongés sur les transats. Matilda, sur le ventre, elle avait vraiment un cul superbe. Ses fesses au soleil, musclées et lisses, m’avaient immédiatement évoqué un cul plus que des fesses. Paradoxalement, une pointe de vulgarité donne souvent un côté visuel et ajoute à la précision d’une description. Julien était sur le dos, il avait retiré son polo, mais avait gardé le bermuda.
— Vous voulez boire quelque chose ?
— Merci, ça va.
Malgré l’heure déjà avancée, il faisait une chaleur de four sur cette terrasse.
— Il y a du jus de fruits au frais si vous voulez. Je vais prendre une douche.
Une fois de plus, je ne sais pas ce qui m’a pris.
— Julien, mets-toi à l’aise si tu veux.
Confuse de ce que je venais de suggérer, je me retirai sans attendre la réponse. Je m’installai un moment, seule dans la cuisine en sirotant un vieux fond de jus d’orange et je m’offris un petit moment d’introspection. Les événements se succédaient et même s’accéléraient. Chaque journée qui passait apportait son lot de surprises, de rencontres et aussi de sexe. J’aimais le sexe, j’aimais jouir et ...
... faire jouir. J’aimais aussi être regardée. Le peignoir ouvert devant Julien, je n’avais pas poussé des cris de vierge effarouchée et, si j’étais honnête, je lui avais laissé tout le temps de me reluquer. Je pris conscience sans en trouver de justification que j’avais, par de petites phrases, provoqué les situations scabreuses qui m’avaient conduite à des relations intimes improbables. Je me demandais aussi pourquoi, dernièrement, elles s’étaient toutes abandonnées à mes propositions feutrées. Je ne trouvai qu’une explication : mes initiatives correspondaient obligatoirement à leurs attentes, même inconscientes, sinon il ne se serait rien passé.
J’en étais là de mes réflexions lorsque Matilda arriva dans la cuisine, toujours nue bien sûr.
— Il fait super chaud, tu as de l’eau fraîche ?
— Je crois, regarde dans le frigo.
Quand elle se pencha pour prendre la bouteille, j’eus la vision fugace de sa vulve qui me semblait gonflée.
— Ta tenue est superbe, c’est japonais ?
— La soie en vient probablement, mais je l’ai rapportée de Singapour, c’est une soie très fine, mais fragile, lavage à la main obligatoire.
Elle s’approcha pour toucher. Elle se saisit d’un coin, ce qui fit glisser un pan et découvrit complètement ma cuisse gauche. Elle passa sa main sur le tissu puis sur ma cuisse.
— Tu as la peau aussi douce que la soie.
— Je vais me doucher.
— Nous aussi, bientôt, on en aura besoin.
Elle repartit vers la terrasse et Julien. La salle de bain était un peu plus ...