1. Matilda et Julien


    Datte: 28/11/2023, Catégories: ff, ffh, groscul, hépilé, fépilée, douche, caresses, intermast, facial, Oral pénétratio, journal, bisex, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... fraîche, car moins exposée au soleil. Sa main sur ma cuisse m’avait troublée. Je repensais aussi à sa réflexion lorsqu’elle m’avait comparée à Élodie. S’imaginer une rencontre à trois n’était pas fait pour atténuer mon échauffement, bien au contraire. Même par une grosse chaleur, j’étais incapable de prendre une douche froide. Alain me disait souvent « une douche froide, ça raffermit les chairs ». Les premières fois, je ne l’avais pas très bien pris, mais il m’affirmait que ce n’était pas son souhait. Je savais qu’il adorait malaxer et caresser mes grosses fesses en appuyant comme s’il voulait entrer dans ma chair ce qui lui provoquait une grande excitation dont il me faisait profiter.
    
    Je me regardai longuement dans le miroir, je faisais une petite inspection assez régulièrement. Le sujet du jour était de savoir si je laissais mes poils repousser ou non. Malgré le temps, j’avais toujours un peu de mal à accepter mon gros clito. Presque tous mes partenaires avaient laissé paraître un moment de surprise ou d’étonnement, mais toutes et tous avaient adoré jouer avec. En fait, je n’étais pas partisane de la demi-mesure. J’aimais soit les touffes à l’ancienne, vintage comme on dit maintenant, soit les sexes complètement lisses, style « petite fille ». De base, ma toison est du genre abondant et sombre, brune avec quelques reflets de roux comme mes cheveux, mais plus foncée que mes cheveux. Je me posai la question, car les petits points noirs témoignant du début de repousse ...
    ... étaient de plus en plus nombreux.
    
    Alain me poussait à la « laserisation » pour, disait-il, me débarrasser de la corvée de la cire. Je le soupçonnais, sous ses bonnes intentions, de vouloir être sûr que mon sexe serait définitivement glabre. Mais je me méfiais du définitif, avoir à quatre-vingts ans une chatte de gamine n’était pas forcément l’idéal, mais, d’un autre côté, les femmes âgées non épilées à qui il ne restait que quelques poils épars, ce n’était pas non plus superbe. En pratique, il n’y avait pas vraiment de bonne solution. En plus, j’aimais bien mes séances chez Carole sur la table, les cuisses écartées, le sexe ouvert pour qu’elle puisse atteindre l’intérieur des grandes lèvres. Et le final à quatre pattes pour le tour de l’anus. Carole n’était pas lesbienne, mais pas insensible non plus à ces séries de vulves que les femmes lui offraient. Elle m’avait dit un jour que les esthéticiennes lesbiennes étaient très nombreuses, ce qui ne me semblait pas très étonnant, mais que cela devait être frustrant de ne pouvoir goûter à tous ces sexes exposés.
    
    La douche était tiède, le gel huileux enduisait ma peau d’une couche d’onctuosité. Je décidai de prendre une douche intégrale, c’est-à-dire : cheveux compris, ce qui impliquait un temps de séchage fastidieux. C’était un bonheur de sentir l’eau, j’aurais voulu pouvoir compter les gouttes qui ruisselaient sur ma peau. J’avais identifié quelques trajets, ceux qui partaient du cou et qui passaient entre mes seins, ceux qui ...
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