Le beau Noël du grand ado - Histoires de Sexe

Le beau Noël du grand ado

... par la suite !
— C’est flatteur, mon Fifi…

Affamé, il continue de ravager ma poitrine et mes tétons :

— Faudra que je te trouve un petit surnom, autre que Momo…
— Pourquoi ? T’aimes pas Momo ?
— Ben, ça fait copain de régiment…

Je me mets à rire :

— T’as même pas fait l’armée ! Sache que certains de mes amants utilisent la seconde partie de mon prénom, mais je préfère que tu trouves autre chose.
— D’accord, j’y songerai !

Ses baisers deviennent plus voraces :

— J’adore être avec toi, j’adore surtout être en toi, Momo, on est si bien !
— Je sais, tu me le démontres à chaque fois !
— J’adore quand tu me suces, j’adore aussi quand je te lèche, j’adore plein de choses avec toi ! Je commence à comprendre un certain Emmanuel avec sa Brigitte !
— Taratata ! Je ne divorcerai pas pour t’épouser !

Il se contente de glousser. Je me laisse adorer, j’aime beaucoup ça ! Mon Fifi n’est pas toujours tendre, il est parfois un peu trop enthousiaste et passionné, mais ça me plaît bien. Il alterne tendresse et possessivité, son désir de ma petite personne ressemble parfois à une avalanche qui me retourne dans tous les sens. Après la tempête, il s’excuse d’avoir été trop démonstratif.

Peut-être que le temps est venu de lui expliquer quelque chose…

Je décide de passer à une nouvelle étape avec mon Fifi. Il y a des choses qu’un jeune homme doit savoir et appliquer selon le contexte, et je pense être la bonne personne pour lui expliquer et lui faire connaître. À ...

... sa grande surprise, je me mets carrément à quatre pattes sur le lit, lui disant :

— Maintenant, on va monter d’un cran, mon Fifi. Il faut que tu saches que certaines femmes ne détestent pas être bousculées. Mais elles ne te le diront jamais ou alors rarement. C’est à toi de deviner.
— Et je fais comment pour deviner ! Je ne suis pas devin, moi, Momo !
— Ah ça… Il n’existe pas de recette de cuisine toute faite…
— C’est bien dommage !

Il marque une petite pause, puis il demande :

— Je… je fais quoi, là, maintenant ?
— Tu vas me faire une belle levrette, comme les chiens, si tu préfères. Mais tu vas y aller de bon cœur, comme si j’étais une chienne, comme si j’étais ta chienne.
— Euh… tu veux vraiment que je…
— Ce sera la fin de notre leçon du jour, mon Fifi. Tu dois te laisser aller, carrément, à fond…
— Comme si t’étais une… euh… une pute ?
— Exactement !

Jean-Phil a la bouche grande ouverte. Remuant du popotin, j’insiste :

— Oui, imagine que je suis une pute, une putain, un mot que tu aimes employer de temps à autre. Imagine que je sois ta grosse pute, celle que tu baises à donf !

Mon jeune amant s’exclame :

— Mais… je ne pourrais pas ! Je… j’ai trop de respect pour toi !
— Un, c’est moi qui te le demande. Deux, c’est le but de la leçon. Il faut que tu apprennes certaines choses, et je suis la mieux placée pour ça.
— Si… si tu le dis…

Je remue à nouveau du popotin pour le stimuler, mais est-ce vraiment la peine. Je sais fort bien qu’il a trop ...