1. Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 15


    Datte: 20/11/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... enfin cette chose énorme, parvenant à se frayer un chemin, déchirant ses chairs, boute sur le col de son utérus, elle pousse un terrible hurlement, de douleur ou de fierté d’avoir réussi à faire pénétrée en elle cette barre de fer rougie.
    
    Chacune de ses poussées la secoue jusqu’au tréfonds de ses entrailles. Elle continue de se mordre les lèvres, gémissant d’un plaisir intense, A présent que la voie est frayée, elle peut entrer au plus profond le mufle énorme dans son vagin tuméfié, chaque mouvement sur ce tison ardent lui arrachant un cri de douleur et de jouissance entremêlés. Elle ne s’économise pas jusqu’à atteindre l’orgasme libérateur avant de céder la place à Virginie.
    
    L’excroissance horizontale sortant de la cloison attend fièrement la suite, comme indifférente à ce qui se passe de ce coté du mur. Virginie prend directement la bite entre ses nichons et commence à la branler avec. Elle pousse même le vice à l’haranguer.
    
    -Tu ne voudrais pas mieux venir nous rejoindre et jouer avec mes seins !
    
    Mais la queue ne quitte pas le trou rond. Je m’attends à ce qu’elle se pénètre à la hussarde d’un coup de reins violent sur la verge offerte, mais au lieu de cela, elle pèse tout doucement, progressivement son pubis sur la bête, ses grandes lèvres s’écartent et son vagin accueillant absorbe par petites secousses la poutre avec d’infinies précautions, jusqu’à la faire disparaître en entier.
    
    -Putain de merde ! S’écrie-t-elle. Ça c’est de la bite ! Je suis gavée comme ...
    ... une oie !
    
    Elle se pénètre, jubilant sous ses propres assauts en se tordant dans tous les sens comme un ver planté sur un hameçon, faisant semblant de vouloir échapper à ce clou de chair incandescent qui la cloue à la paroi.
    
    Je m’approche pour mieux voir la cheville qui relie les deux bassins, celui de Virginie est luisant de sueur. Sa vulve ruisselle comme une source sortant d’une fente de la terre. Des gouttes de liqueur perlent de sa toison en triangle. Le cylindre noueux parcouru de veines violettes glisse avec une puissance de piston entre les bourrelets de chair du minou de Virginie. Elle est ruisselante comme une huître et un clapotis terriblement excitant rythme le va-et-vient. Lorsqu’elle pousse son corps contre la paroi, un chuintement suggestif accompagne la disparition centimètre par centimètre, de la formidable trique dans son sexe.
    
    Elle finit elle aussi à prendre son pied sans pour autant avoir fait rendre les armes à Arthur. Elles reprennent donc une fellation double, se retirant la friandise de la bouche toujours d’une imposante raideur à tour de rôle avant que la cartouche ne s’engage dans le canon et qu’il gronde à nouveau.
    
    Elles sont à genoux, une main entre leurs cuisses pour se doigter la minette et l’autre s’occupant du pieu près à cracher. Elles gémissaient en le masturbant, donnant des petits coups de langue sur le gland. Arthur se met à nouveau à éjaculer abondamment mais elles ont retenu la leçon et n’en perdent pas une goutte, chacune à ...