1. Louise


    Datte: 19/11/2023, Catégories: fh, fhh, fplusag, fagée, voisins, grosseins, bain, campagne, Oral pénétratio, fsodo, initiatiq, diffage, Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe

    ... et moi, à venir faire une promenade avec elle le lendemain. Elle nous dit qu’il y avait de très jolis petits coins à voir dans la région. Mais ma mère, qui n’est pas une marcheuse et qui préfère les salons de coiffure à la cambrousse, déclina l’invitation. « Encore une disciple de José Bové », me dit-elle lorsque notre visiteuse fut partie. Autant dire qu’elle n’appréciait guère sa compagnie.
    
    Me voici donc le lendemain, après déjeuner, à frapper à la porte chez la voisine. Elle finit par ouvrir, les cheveux en bataille et la robe à moitié débraillée. Manifestement, elle sortait du lit, elle devait faire une petite sieste et je l’avais réveillée. Je m’en excusai, j’étais confus, c’est vrai que nous n’avions pas convenu d’horaire, elle m’invita quand même à entrer.
    
    — Il est un peu tôt pour aller en promenade, Éric, surtout avec ce soleil de plomb, je pensais partir plutôt vers 16 heures, si ça ne vous dérange pas. Mais puisque vous êtes là, vous allez me tenir compagnie.
    
    Elle proposa que l’on s’installe tranquillement dans le living pour boire un thé accompagné de petits gâteaux.
    
    Je m’assis donc dans le fauteuil face à elle, et elle sur le canapé. Sa robe encore dégrafée laissait entrevoir une poitrine bien blanche. Mais ça n’avait pas l’air de la perturber outre mesure de se présenter ainsi face à moi à moitié débraillée. Quand elle se pencha pour me servir, je ne pus que plonger mon regard dans l’échancrure de sa robe pour admirer le galbe de ses seins rebondis ...
    ... que n’emprisonnait aucun soutien-gorge ; beaucoup plus opulents que ceux de ma copine du moment, beaucoup plus lourds que ceux de ma mère, plus larges aussi. Saisi d’un trouble indéfinissable, je me sentis rougir et me mis presque de suite à bander. Je ne sais pas si elle s’en aperçut mais elle ne fit en tout cas rien pour se réajuster. De toute façon, le mal était fait, j’avais désormais envie de cette femme qui avait pourtant passé l’âge de ma grand-mère.
    
    Elle était beaucoup plus causante que lors de notre première rencontre, sans doute ma mère l’avait-elle intimidée. Elle me parla de ses centres d’intérêt, en particulier de ses lectures… Elle me demanda si j’aimais lire. Non, j’avais horreur de ça, sauf peut-être les BD et les livres de science-fiction. Je me sentais en confiance avec elle, à tel point que je finis aussi par lui avouer que je feuilletais parfois des revues pornos(à l’époque, ça existait encore, Internet n’était pas grand public et c’était toujours le Minitel). Mais elle n’eut pas l’air de s’en formaliser. Bien au contraire, car elle enchaîna en me gratifiant d’un sourire :
    
    — Dommage que vous n’aimiez pas lire, jeune homme, car j’aurais pu vous prêter quelques livres de ma bibliothèque personnelle qui auraient pu vous intéresser. Des livres parfois très érotiques et même assez scabreux. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler des « Liaisons Dangereuses » de Choderlos de Laclos ou de « L’Amant de Lady Chatterley » pour ne citer que les plus ...
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