Louise
Datte: 19/11/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
fagée,
voisins,
grosseins,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
initiatiq,
diffage,
Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe
À l’époque où ces faits se sont passés, Louise avait 63 ans révolus et moi tout juste 20 ans.
Mes parents avaient acheté une maison de campagne dans un petit hameau, un coin paumé du Massif central où il n’y avait pas grand-chose à faire, encore une idée de mon père qui rêvait de tranquillité et croyait faire une bonne affaire. Et cette année-là, je n’avais pu échapper aux vacances forcées avec mes vieux dans ce trou perdu. Je venais de rater mes examens et je devais les repasser en septembre. Alors inutile de dire que le paternel ne m’avait guère laissé le choix, et c’est avec tristesse que j’avais vu partir ma copine toute seule en Espagne, où nous avions prévu d’aller faire une virée avec des copains.
J’étais donc confiné au milieu de nulle part. Je passais mes journées à tourner en rond. Je n’avais guère envie de bosser, je remettais toujours les révisions au lendemain. Je me baladais ci et là sur les sentiers de randonnée ou alors j’allais à la pêche. Il n’y avait guère que ça à faire dans le coin. Éventuellement, en fin d’après-midi, aller boire un verre ou manger une glace au seul troquet du village voisin, et rencontrer les quelques jeunes qui avaient atterri là par hasard tout comme moi. Mais pas de quoi faire la fête, pour la plupart c’étaient des fils de paysans qui s’étaient trouvé un petit job ou alors simplement qui venaient rendre visite à leurs parents… Et ma copine Béatrice qui m’envoyait des cartes postales ensoleillées d’Andalousie, il y avait de quoi ...
... être écœuré.
La première fois que j’ai rencontré Louise, c’était un soir après le dîner. Nous étions voisins et ma mère l’avait invitée par politesse à venir manger un gâteau. Il faut dire que maman était un peu comme moi, elle commençait à s’ennuyer ferme et recherchait désespérément de la compagnie. Louise n’était pourtant pas le genre de femme dont elle aurait pu se faire une amie. Une vieille intellectuelle un peu pédante au look très baba cool, elle avait de longs cheveux gris filasse qui lui donnaient l’air d’une sorcière ou d’une folle. Vêtue sans grâce, pas maquillée, ni même peignée, elle ne cherchait pas à se mettre en valeur. Pourtant, malgré ses rides et son teint fané, des traits fins indiquaient qu’elle avait dû être très jolie dans sa jeunesse.
Elle n’était pas très causante et ma mère en eut vite fait le tour. Mais je crois surtout que les deux femmes n’avaient pas les mêmes sujets d’intérêt. Tout juste apprit-on qu’elle était originaire de Bretagne, qu’elle avait atterri là lorsqu’elle avait épousé son dernier mari, que le pauvre n’avait pas profité de sa retraite car il avait été fauché par un cancer quelques années auparavant.
Et non, elle ne s’ennuyait pas ici, elle avait deux ou trois amies au village, fréquentait assidûment le bibliobus, et surtout, elle aimait se promener dans la campagne environnante et flâner dans les bois. Comme je faisais la moue en ayant l’air de dire que je me faisais chier à cent sous de l’heure, elle nous invita, maman ...