Un tram peut en cacher un autre
Datte: 16/11/2023,
Catégories:
f,
fh,
fbi,
inconnu,
plage,
bain,
forêt,
magasin,
train,
amour,
Masturbation
caresses,
nopéné,
attache,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... entre ses cuisses. Mon envie d’elle augmente violemment, on frise la torture sensuelle.
Plus elle me sent excité, plus elle semble prendre plaisir à ce jeu que j’ai mis en scène, mais dont je n’ai pas imaginé toute la portée érotique. Répondant aux vains basculements de mes hanches, elle mime le plaisir qu’elle aurait à me prendre en elle.
Sa main fouille son intimité, son corps se tend, se courbe, elle plie les jambes comme si une intense volupté la faisait défaillir. Puis elle se redresse, écarte ses cuisses, plonge ses doigts encore plus profondément, jusqu’à effleurer les trésors secrets cachés entre ses fesses.
La scène est irréelle, bien au-delà de ce que j’avais imaginé. Florence est sublime de désir inassouvi, de féminité offerte au mâle entravé qu’elle se retient avec volupté de consommer. Tout en elle transpire l’envie de sexe, l’envie de jouir du mâle fécond.
Par ma mise en scène, devant cette vitrine abandonnée, je lui donne la liberté de laisser s’exprimer son envie animale d’engendrer. La tension érotique qui nous unit fait apparaître des émotions profondes et secrètes, que je l’imagine mal m’avouer dans d’autres circonstances.
Au moment où je finis par perdre la notion du temps, où mon corps est juste capable de bander et de désirer s’unir au sien, Florence achève le spectacle en mimant un orgasme fulgurant.
C’est si réaliste qu’il me semble même entendre des râles s’échapper de ses lèvres et traverser la vitrine pour m’exciter plus encore. Je ...
... sais que tout cela est un jeu, mais la performance achève de me mettre en transe.
Elle met alors fin au spectacle en remettant de l’ordre dans ses habits. Puis elle cherche enfin un moyen d’entrer dans le magasin. J’ai pris soin de laisser une porte entrouverte à quelques mètres sur la droite, discrètement éclairée par une bougie à l’intérieur du local.
Sans dire un mot, l’allure fière et digne, elle vient me rejoindre. Je m’attends à être enfin délivré de mon excitation par quelques caresses libératrices. Elle n’en fait rien. Un sourire cruel aux lèvres, elle repère puis dénoue le nœud principal de la toile d’araignée. Le montage s’effondre, et je me retrouve à ses pieds, entravé, raide bandé.
Elle passe un doigt distrait sur mon sexe, insiste légèrement sur le gland hypersensible, puis se détourne de moi en réajustant le haut de sa robe.
Majestueuse, elle me quitte sans un mot. Conformément à notre programme de réjouissances, je ne pourrai la revoir que dans une dizaine de jours, au moment où elle me dévoilera sa turpitude.
Inutile de préciser dans quel état de frustration je débarrasse le magasin et rentre chez moi. Ni par quel moyen je me remets du trouble que le jeu de Florence a provoqué en moi.
Le bref texto qu’elle m’envoie de retour chez elle confirme néanmoins le trouble qu’elle aussi a ressenti :
ooo000ooo
En fait, question turpitude, son texto d’invitation me semble nous laisser dans les limites du raisonnable. Quoique…
Elle me donne en ...