1. Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (4)


    Datte: 06/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: D5F6z8, Source: Xstory

    ... jeune femme qui avait exactement le même visage que mon androïde FG-61 ! Les mêmes cheveux bruns bouclés, les mêmes longs cils séduisants. La seule exception était la taille de sa poitrine, qui était bien plus imposante ici, et son vêtement, une belle robe blanche toute simple. Je pouvais voir les tétons qui pointaient sous le tissu. Elle devait être toute nue mis à part la robe. Pas de soutien gorge. Avait-elle une petite culotte ? Et Melina, la pute au gros cul, avait-elle mis une petite culotte ce matin ou s’attendait t’elle à ce que je la prenne direct ? Mon dieu, ce contexte païen me faisait tourner la tête. Mes pensées bondissaient d’objets de luxure en objets de luxure.
    
    Ce qui s’est passé ensuite n’a pas amélioré la situation. Obéissante, la jeune servante quasiment identique à mon androïde a rampé jusqu’aux pieds nus de Cléopâtre et les a embrassés du bout des lèvres, l’un puis l’autre. La reine, insatisfaite, a ordonné sèchement quelque chose qui a fait que les baisers se sont répétés mais avec plus de passion. Cela est arrivé plusieurs fois : à chaque fois la servante embrassait les pieds, mais de plus en plus fougueusement, et à chaque fois son altesse demandait plus. Au bout d’un moment, la soumise s’est mise à titiller timidement un pied du bout de sa langue come une chatte qui lape du lait. Finalement, obéissant à la dernière injonction qui est sortie de la bouche de sa supérieure, elle a soulevé le beau pied nu et s’est mise à lécher toute la plante, du ...
    ... talon aux orteils. Une fois qu’elle s’est bien occupé d’un pied, elle est passée à l’autre. Toutes deux semblaient adorer ça. Et moi aussi, ma queue durcissait dans mon pantalon, et je ne savais pas si j’aurais aimé lécher ces beaux pieds ou bien recevoir ce genre d’attention de la part d’une subordonnée.
    
    Une petite voix a alors murmuré quelque chose à mon oreille et m’a fait sursauter :
    
    « Ça te plait comme exposition ? »
    
    C’était Melina. J’ai jeté un coup d’œil sur le côté d’où la voix venait. Mais sa sphère gisait au loin sur le sol derrière un pilier. Merde… J’ai pensé que le spectacle la mettait tellement mal à l’aise qu’elle avait retiré son casque et était venu près de moi sur la pointe des pieds pour me demander de s’en aller. Elle était invisible dans le monde virtuel puisqu’elle n’était plus là où la sphère se trouvait, mais bien présente en réalité, à mes côtés. Je lui ai répondu :
    
    « C’est que… Ça peut être intéressant… Mais si tu veux qu’on s’en aille…
    
    — Non, idiot. Je te demande si ça t’excite. »
    
    Elle avait murmuré cette dernière phrase sensuellement. J’ai enfin entendu le ton lourd de sous entendus présent dans sa voix depuis le début. Ses doigts boudinés se sont posés sur la bosse de mon pantalon. J’ai protesté :
    
    « Arrête, on va nous voir.
    
    — Mais non, tout le monde a un casque. Le guide n’est là que pour vérifier que personne n’interpose sa sphère entre le public et le scénario. »
    
    J’ai levé mon casque quelques secondes. Ce qui m’a fait voir ...
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