La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1619)
Datte: 13/11/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... je me laissais tomber sur le sol, sans me soucier des traces douteuses qui recouvraient le carrelage. Au point où j’en étais, le contact de ces saletés sur ma peau augmentaient plus encore le sentiment de dégradation qui m’enivrait.
- Tu n’es vraiment qu’une merde !, me murmurait Markus avec un ton sadique et pervers …
Je baissais les yeux, lui contemplait de son regard vicieux chaque détail de mon anatomie, il observait mon entrejambe couvert de cloques et de boursoufflures dues à ces satanées orties urticants. Contre toute attente, Markus ôtait ma cage de chasteté. Aussitôt ma nouille se redressait entre mes cuisses rougeâtres. Surexcité par les profondeurs abyssales des humiliations et « tortures » subies, je bandais fort. Ma nouille dure était tendue à l’extrême, mon gland décalotté et violacé luisait sous la faible lumière d’une petite fenêtre crasseuse, couverte de toiles d’araignées… Devant moi, Markus déboutonnait lentement sa braguette, sortait son sexe et ses testicules puis se dirigeait vers les urinoirs en tirant sur ma laisse. Je le suivais en rampant, l’esprit encore embrumé après tant d’épreuves. Entre mes jambes, ma nouille plus bandée que jamais, sautait à chacun de mes mouvements, prête à lâcher tout son sperme contenu à la première caresse. Markus pissait dans la vasque de l’un des urinoirs, un jet dru, recouvrant et giclant contre la porcelaine puante de cette pissotière. Lorsqu’il eut terminé, le Dominant pointait du doigt et ordonnait :
- ...
... Lèche, la pute !
C’est avec répulsion, que je posais mes lèvres sur cet urinoir ignoble, je glissais la pointe de ma langue contre le rebord, puis ma langue entière, bien à plat, en fermant les paupières pour mieux déguster les sensations uniques de cette nouvelle humiliation. Comment pouvais-je être surexcité, alors que je récoltais la pisse encore tiède et salée sur ce chiotte sale et infâme, tandis que Markus posait son pied sur mon dos, pour bien affirmer et assoir sa complète Domination ? Comment pouvais-je accepter une telle déconstruction de mon être… moi qui avait mis plus de vingt-cinq ans à construire ma personne sociale, l’image factice qui me permettait de vivre en société ? En si peu de temps, depuis ma rencontre avec Monsieur le Marquis, tout s’était écroulé, j’étais réduit à néant par Sa seule Volonté. Aujourd’hui encore, j’étais là, nu, vaincu, débauché, perverti par cet homme abject, choisi par le Maître. Je me sentais totalement déshonoré et pourtant n’éprouvais qu’un seul désir, celui d’être affamé de dégradation suprême pour être un esclave heureux, assumé et équilibré, bien dans ma peau, aux pieds du Noble…
Et comme si cet abaissement, ce déshonneur ne suffisait pas, Markus me laissait encore, à genoux, la tête dans cet urinoir, les mains croisées derrière le dos, les reins cambrés, les cuisses ouvertes. Je ne bougeais plus, n’osais même à peine respirer… vivant seulement l’opprobre et la dépravation… Markus était là, dans mon dos, il devait contempler ...