1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1619)


    Datte: 13/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1618) -
    
    Chapitre 38 bis : La Maison Forestière –
    
    Encore une fois, j’avais l’impression que le Marquis de Sade me regardait… me dominait … du haut de sa statue… Tout d’un coup, je sentais comme une brûlure sur ma peau, dans mon dos, sur mes fesses, dans ma raie toujours tenue largement écartée, sur l’intérieur de mes cuisses, sur mes boules comprimées. Quel sadique… délicatement, méticuleusement, il caressait mes fesses, mon entrejambe d’une touffe d’orties, touffe qu’il déposait sous mon ventre, alors que la semelle de sa chaussure se posait sur mon cul irrité. Markus pressait de tout son poids, jusqu’à ce que je m’aplatisse au sol sous son pied, jusqu’à ce que mon bas ventre vienne en contact direct avec ce bouquet urticant. Markus ricanait vicieusement en voyant mes larmes sur mes joues, ainsi, je le stimulais, l’excitais… Il venait d’empoigner son sexe lourd, à demi-bandé. Il s’était assis devant moi, sa verge dégageait une odeur forte, un mélange de sueur légère et d’excitation bestiale, un parfum enivrant qui emplissait mon esprit d’une brume délicieuse. Instinctivement, j’ouvrais la bouche espérant sentir ce membre venir se poser sur mes lèvres…
    
    Mais hélas, Markus remballait son matériel viril et se relevait, puis il déposa délicatement afin de ne pas se piquer, sa poignée d’ortie dans une des mains de la statue, entre le pieu et les doigts de ...
    ... pierre, comme si l’illustre écrivain tenait en main ces orties, prêt à s’en servir pour Justine ! … D’un coup de pied dans les fesses, il m’ordonnait ensuite de me relever et d’un coup sec sur la laisse, tout en jetant un dernier coup d’œil respectueux envers la statue, il m’obligeait à repartir, toujours en quadrupédie jusqu’à cette petite Maison Forestière, juste à quelques minutes et qui était totalement isolée, placée sur un sol herbeux et adossée à l’orée d’une forêt de feuillus. Arrivés devant la porte, je sentais l’extrémité de la chaussure de Markus s’introduire entre mes fesses et presser contre mon cul :
    
    - Entre, salope.
    
    Au même moment, il déverrouillait la porte avec une lourde clé qu’il sortit de sa poche. J’obéissais, hanté par le sentiment de pénétrer en enfer, ou dans la taverne d’un fauve. Sitôt à l’intérieur, une vieille odeur de transpiration, de pisse et d’abandon envahissait mes narines et les pores de ma peau, un parfum entêtant qui finissait de m’étourdir. A droite, une dizaine de paires de bottes crottées et puantes en caoutchouc étaient posées sur un simple rayonnage en bois, à gauche une courte rangée d’urinoirs, au sol un carrelage crasseux était couvert de traces terreuses avec des feuilles mortes gisant ici et là. Sur un mur sale, était exposée une demi-dizaine de fusils de chasse poussiéreux mal positionnés dans leur accroche et entourés de vieux calendriers Playboy aux nus féminins et sensuels … Alors que Markus refermait la porte derrière lui, ...
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