1. La bataille des cinq espions


    Datte: 13/11/2023, Catégories: fh, hotel, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels pénétratio, fsodo, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... dans son maillot brésilien en quittant le vestiaire, me laissant seul avec trop de questions en tête.
    
    Deux jours plus tard, je suis à la gare, après avoir donné quelques conseils à Stéphane dans la gestion du magasin de musique, puis après avoir inventé une histoire à Malika :
    
    — J’ai été invité à une sorte de congrès sur la musique indépendante, à New York, je partirai six jours.
    — Tu seras de retour pour notre déménagement ?
    — Oui, tout juste. Nous déménagerons deux jours après mon retour.
    
    Parce que l’offre d’achat avait été acceptée, parce que nous nous étions débrouillés pour avoir les clés au premier de mois prochain, parce que tout était organisé ! Mais que le Service n’avait toujours pas répondu.
    
    Durant tout le trajet de 10 h en train en direction de New York, je rêvasse des plaisirs que m’avaient fait vivre Malika la nuit avant le départ : les menottes liant mes mains dans mon dos, les pinces reliées par une chaîne mordant mes mamelons, son gode ceinture dans ma bouche, puis dans mon cul, les claques sur mes fesses, ses mots crus, feints, mais vulgaires :
    
    — Tu m’abandonnes ? C’est ça, tu t’en vas avec cette traînée ? Tu vas revenir en rampant, jamais elle ne pourra te faire jouir comme moi ! C’est moi ta maîtresse !
    
    Malika s’est retirée après m’avoir fait jouir et nous avons éclaté de rire et de surprise de tous ces nouveaux jeux que nous pouvions inventer.
    
    — Je t’aime.
    — Moi aussi.
    
    Mais Malika ne perdait rien pour attendre, car au milieu ...
    ... de la nuit je l’ai stupéfaite dans son sommeil : c’était elle désormais, la ligotée, un gag ball en bouche, mon membre dur la pénétrant de toute part comme lors de nos premiers ébats. Au matin, toasts au miel et café chaud, nous nous sommes embrassés en souriant : « Allez, ce n’est que six jours, tout au plus… », ai-je soupiré en quittant l’appartement.
    
    Juliette m’avait rejoint sur le quai de la gare, m’avait refilé un papier en cachette. J’ai tenté d’aborder le sujet de Malika, mais elle m’a ignoré. J’ai lu son mot assis dans mon siège : « Rdv au Royal Hôtel, chambre 207 », nous ne nous sommes pas reparlés, elle était dans un autre wagon, je l’ai aperçu rendu dans la Grande Pomme, puis disparaître.
    
    New York est une ville de fous. J’en ai visité des métropoles durant ma carrière, mais New York a toujours eu cet effet hallucinant de rapidité et de je-m’en-foutisme individuel. Je ne voulais pas y rester, je voulais déjà repartir, surtout après les embouteillages du centre-ville qui m’ont fait perdre plus d’une heure. J’ignorais ce que me réservait Juliette, autant aller la rencontrer directement à la chambre 207 du Royal Hôtel.
    
    Bel établissement chic et somptueux, des miroirs, des lustres, des tapis rouges dans le hall, dans les couloirs, j’ai grimpé les deux étages sans m’attarder et toqué à la porte. Un « Entrez ! » étouffé s’est fait entendre, j’ai suivi l’ordre, aux aguets : la chambre était humide et chaude, quelqu’un venait de prendre une très longue douche et en ...
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