1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1656)


    Datte: 11/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... atteins d’une pathologie de désirs sexuels exagérés, excessifs et amplifiés par une frustration de trois jours seulement... Charles était reparti, me laissant là, emmuré dans mes désirs profonds et viscéraux besoins charnels, les yeux brillants et assoiffés, les tétons tendus pointant sous mon teeshirt moulant, ma nouille dégoulinante de mouille, souillant et tâchant l’entrejambe de mon jogging… Outre mes pulsions personnelles, j’avais besoin de quelque chose qui dépassait ma satisfaction immédiate. J’avais un réel besoin d’être aux pieds de Monsieur le Marquis. Il était le Maitre qu’il me fallait, parce qu’en raison de Son charisme et de Ses qualités, il était en droit d’exercer Son pouvoir sur moi et d’en jouir sans autres contraintes que celles issues de Sa propre morale. Il m’éduquait telle une salope, me conformant simplement à Ses exigences, Il me remodelait dans ce qui était ma profonde nature servile. Oui, bel et bien j’étais devenu un esclave, Son esclave, je n’en doutais plus ! J’étais destiné à servir et être asservi en raison de mes faiblesses, de mes craintes, de mes contradictions et de mon manque de volonté. J’avais besoin de trouver mon équilibre en servant Celui qui donnait un sens à ma vie et de la valeur à mes faiblesses. Oui, j’étais né pour être esclave ! …
    
    Mes doutes, mes peurs, mes failles me rendaient inapte à jouir de ma liberté. Je ne trouvais mon équilibre et ma raison d’être qu’en étant asservi et reconnu comme tel par le Maitre. Et Monsieur ...
    ... le Marquis le savait, Il savait que j’appréciais toutes Ses qualités pour que je m’en remette à Lui, corps et âme. Il avait la détermination, l’autorité, la tempérance et l’intelligence pour m’assujettir irréversiblement à Sa volonté. Il m’obligeait à abandonner, tout abandonner pour que je Lui laisse le loisir d’exploiter mon corps et mon mental, pour que je puisse Le servir inconditionnellement sans pouvoir échapper à Son joug qui me permettait, enfin, d’être moi-même. C’était de tout ça dont j’avais besoin, à l’instant même !... Un long moment après la visite de Charles, en lieu et place, autour d’un thé, je recevais Louise, cette bonne et douce Louise qui n’avait de cesse de m’aimer tel un fils. Elle me chérissait, me dorlotait, et à sa façon me motivait, Louise était la bonté même…
    
    - La vie est trop courte Monsieur Alexandre, alors, si je peux me permettre de vous donner un conseil, croquer-là à pleines dents, profitez de chaque minute qui passe, soyez heureux maintenant, n’attendez pas pour vous faire plaisir, le temps est vraiment précieux, savourez-le car personne ne pourra l’arrêter.
    
    Louise assise près de moi, caressait délicatement ma main posée sur l’accoudoir du fauteuil. Ce geste affectueux me donnait de doux frissons et me renvoyait vers l’enfance. Mes yeux s’embrumaient, je revoyais ma mère me câliner, je sentais sa douce main effleurer mon visage pour effacer une larme, je l’entendais me chanter quelques comptines d’antan avec ses yeux remplis d’amour ...